BIENVENUE CHEZ CLEM'SO MEDIAS

                  À l'Université d'Abomey-Calavi, la Faculté des sciences et techniques (Fast) brule pour une affaire de sexe au bureau. Une plaignante, stagiaire au Décanat de cette faculté au moment des faits, a visé certains responsables les accusant d'avoir eu de rapports sexuels avec elle dans leurs bureaux, contre son gré. Harcèlements sexuels. Ainsi, le Doyen, le vice-doyen et le chef de scolarité de la Fast ont été écoutés au tribunal de d'Abomey-Calavi. Dans le lot, le doyen de la faculté a indiqué s'être allé au sexe avec la plaignante, mais de gré et surtout dans un hôtel et non au bureau. Fast-sexe au bureau ou non, les enquêtes vont se poursuivre.

Il y a trois mois le président français a subi une gifle de la part de l'un de ses compatriotes. Ce lundi 27 septembre, alors que Emmanuel Macron s'est rendu au Salon international de la restauration, de l'hôtellerie et de l'alimentation (SIRHA) à Lyon, il a été victime d'un jet d'oeuf. Alors qu'il déambulait dans les allées de l'événement, le président de la République française a été pris pour cible par un jeune d'une vingtaine d'années.  L'auteur des faits a été placé en garde à vue. En effet, le service d'ordre de époux de Brigitte a aussitôt maîtrisé l'auteur de ce geste contestataire, qui aurait crié "Vive la révolution". Les sources indiquent que le locataire de l'Élysée a demandé à ses équipes de s'entretenir avec le jeune homme en question afin de "comprendre ses motivations." "S’il a un truc à me dire, qu’il vienne", aurait commenté le chef de l’Etat. Après avoir été giflé dans la Drôme