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    Âgé de trente ans, un étudiant s'est jeté dans un puits dans le but de mettre fin à ses jours sur terre.  L'événement s'est déroulé dans la capitale du Bénin. À Porto-Novo, à Doha Dèdomè, un jeune homme de la trentaine a pris la résolution de se suicider en se jetant dans un puits, rapporte Triomphe Mag. Avant de passer à l'acte, précise le site qui a cité un témoin, l'étudiant a d'abord avalé des piles.  Grâce à la promptitude de l'alerte du témoin, le jeune homme de 30 ans a été repêché du puits puis conduit à l'hôpital d'urgence. C'est ainsi qu'il a eu la vie sauve avant de confier qu'il était exacerbé par la maltraitance de ses tuteurs, ce qui a motivé son choix. Pour l'homme, mourir lui valait mieux que de continuer à subir ces affronts.

Les règles ont changé. La procédure d'attribution du ballon d'or ne sont plus les mêmes. C'est la grosse information européenne de ce vendredi en matière de football. Le changement opéré ainsi peut bien être à cause des débats que suscitent souvent cette attribution. Mais cette procédure est désormais obsolète.  Une cohérence est établie quant au calendrier qui sera pris en compte. En effet, le Ballon d'or va dorénavant prendre en compte les performances sur une année au lieu de la saison comme c'était le cas par le passé. Cette nouvelle méthode permet de voir clairement dans les performances à prendre en compte. Aussi, aux journalistes de France football et de l'Equipe, vont s'ajouter l'ambassadeur du BO, Didier Drogba et le votant le plus perspicace de l'édition écoulée.  La liste passe ainsi de 167 votants à 100 issus des cent premiers pays au classement FIFA. Cette décision, selon les explications, vise à resserrer et à renforcer le niveau d'

          Au Bénin, ce n’est pas la joie. Les populations font face depuis quelques années à la cherté de la vie jamais vécue. C’est des plaintes et des grognes partout dans le pays. S’il y a des choses que les béninois ne pourront jamais oublier sous le règne de Patrice Talon, la cherté de la vie figure au premier plan. Il n’y a pas de jour où dans les rues, dans les foyers, sur les places publiques, des cris de détresse ne se font pas entendre. Au-delà des coups de gueule des coulisses, même des mouvements officiels de protestation des syndicats dont la Csa-Bénin, la Cosi-Bénin, la Cgtb, la Cspib, l’Unstb, la Csub, se sont faits entendre en février depuis la bourse du travail pour dénoncer cette cherté de vie qui asphyxie chaque jour plus les béninois. Ce n’est un secret pour personne que sous la rupture et ce, depuis plusieurs mois maintenant, rare sont ceux qui parviennent à se trouver dans le pays trois repas par jour. Les plus heureux en arrive à se procurer deux et sinon certain