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L'ancien président de la République du Bénin, docteur Boni Yayi a pris la parole pour la première depuis que la Commission électorale nationale autonome (Cena) a enclenché le processus de la présidentielle 2021. Il s'est adressé au peuple et aux responsables à divers niveaux à travers un message sur sa page Facebook pour appeler chacun à oeuvrer pour << la paix, la sécurité de tous en ce moment sensible de notre histoire >>. Il n'est un secret pour personne que l'élection présidentielle s'annonce au Bénin sur fond de contestation et de tension. À la base, le caractère exclusif, les textes querelés qui servent de repère dont la Constitution révisée qui accorde un bonus de 45 jours au mandat de Patrice Talon. Dans son adresse dans laquelle, le prédécesseur de Talon suggère aux forces armées d'aider à la paix en ayant pas opté pour l'usage de l'arme contre le peuple, il reste ferme sur le bonus du mandat présidentiel en cours. Le non de Boni Yay

Face à la presse ce mardi 9 février 2021, les responsables du Mouvement population de libération (Mpl) n'ont pas été tendres avec certains partis politiques et personnalités qui ont porté leurs dossiers de candidatures vers la Commission électorale nationale autonome (Cena) dans le cadre de la présidentielle dont le processus est enclenché depuis quelques jours. S'agissant des partis politiques qui se sont lancés dans la course électorale, la déclaration du Mpl présentée par le secrétaire général du parti, Expérience Tèbè clame qu'ils sont des complices << de la forfaiture en cours >>. Le parti a le même sentiment vis-à-vis des personnalités qui ont déposé leur dossier en conformité avec la Constitution et la loi électorale révisées. Pour avoir agi de la sorte, Sabi Sira Korogoné et sa formation politique concluent << qu'ils ne sont plus éligibles pour parler au nom du peuple >>, car ils sont << des alliés du pouvoir et seront traités comme

  L'homme qui aurait pu être sur le point de départs des candidats à la présidentielle de 2021 était face aux professionnels des médias le vendredi 5 janvier dernier. Vingt quatre heures après la clôture des dépôts des dossiers de candidature, docteur Tayéwo Kokodé, président du mouvement EnCoRe, Ensemble Construisons notre République a expliqué à la presse les raisons de son absence. À l'occasion, il a évoqué le caractère exclusif de l'élection dont le processus est en cours et surtout les différentes démarches menées qui ont permis d'éprouver le système.  Du manifeste du Coder du 17 juillet 2020 à l'endroit du chef de l'État Patrice Talon pour suggérer une assise nationale aux différents recours devant la Cour constitutionnelle pour le contrôle de la constitutionnalité du parrainage en novembre de la même année, tout est resté vain, a souligné docteur Kokodé.  Parrainages confisqués  Le mouvement EnCoRe dans sa manière de faire, a adressé de courrier à chacun