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La lutte au sein de l'opposition béninoise passe une autre vitesse demain. A Golgen Tulip à Cotonou ce dimanche 28 février, le Groupe national de contact (Gnc) tient la cérémonie d'installation du cadre national de concertation des forces politiques, sociales et économiques pour pour la restauration de la démocratie et l'État de droit au Bénin. La date de l'événement n'est pas choisie au hasard, car elle représente un grand jour dans l'histoire du pays. En effet, cette date est le symbole de la fin de la conférence nationale des forces vives de la Nation de février 1990. Sous la houlette de la présidente du Gnc, Amissétou Affo Djobo et du président du comité de suivi du colloque sur le trentenaire de la Constitution souveraine de 1990, Alexandre Hountondji, les forces de l'opposition sont attendues de toutes les communes du Bénin. Un front commun sera donc installé pour passer à la vitesse supérieure quant aux exigences du respect des décisions de la Cour af

Pas d'élection présidentielle projetée pour le mois d'avril sans un retour à la démocratie. Les béninois de la diaspora sont fermes et l'ont fait savoir à travers une tribune.  TRIBUNE. Le mercredi 1er mai 2019, l’armée de Patrice Talon a tiré sur une veuve, nourrice d’un bébé de neuf mois. Mère de sept enfants dont le plus âgé a 17 ans, elle a eu le malheur de se trouver dans la rue du domicile de Thomas Boni Yayi, ancien président du Bénin (2006-2016). La victime, Prudence Vioutou Amoussou, allait chercher sa fille. Elle passait juste son chemin. Elle n’était pas armée et ne représentait aucun danger pour personne. Elle a été criblée de sept balles dans le dos. La foule horrifiée la vit s’écrouler dans une mare de sang. Sa fille en sueurs et en larmes prend conscience du drame qui se produit sous ses yeux. Terreur, répression, sang, sueur, larmes et désespoir. Ce sont les règles qui régissent les relations que le président béninois entretient avec son peuple, qui l’a élu

Malgré la gravité que constitue l’agression d’un citoyen qui plus est une personnalité et même un candidat à une élection présidentiel, les enquêtes pour mettre à nu les auteurs du crime perpétré contre Galiou Soglo en début du mois de février semblent être banalisées. En tout cas, c’est l’impression qu’a la famille de Galiou Soglo qui a de nouveau levé le ton. Dans un communiqué en date, la famille de la victime se demande à quoi on peut s’en tenir. La famille Soglo ne comprend pas comment les choses peuvent être prises ainsi à la légère. Surtout, le clan du candidat Galiou Soglo déplore la mauvaise foi de ceux qui tentent de faire croire que l’agression du 6 février 2021 était un montage de la victime en dépit des rapports médicaux. « Malgré les explications des médecins, les radios et scanner qui ont confirmé la présence de balle logée dans la cage thoracique de la victime,  il y a toujours des gens mal intentionnés et  les caciques du régime qui  certainement de connivence avec les

  Le Bénin traverse une période électorale délicate. Dans ce cas, le premier magistrat du pays détient le code de déverrouillage pour éviter à sa terre une tension électorale. Mais incapables de tenir un langage de vérité, certains partisans de Patrice Talon tentent d’indexer l’opposition comme celle qui attise le feu de la violence.  Clément WINSAVI Cela ne fait aucun doute. Le Bénin est mal en point. Pour une troisième fois en cinq ans, le pays vit de moments cyniquement désagréables dus à la volonté du président de récidiver dans son régal de toujours ‘‘compétir’’ en ayant pour adversaire lui-même. En 2019, Emmanuel Tiando, le président de la Commission électorale nationale autonome (Cena) a été chargé de verrouiller les législatives par des fautes mineures qui passent contre les fautes majeures qui trépassent. Dans la dure expérience de fusillade, de chasse à l’homme, de gaz lacrymogène et de chars, 83 partisans du chef de l’Etat ont été désignés pour occuper les tables et bancs du

Au Bénin, plusieurs sont les opposants qui sont convoqués par la justice. Des responsables du parti de l'opposition Les Démocrates sont entrés dans un aller-retour à la Criet, Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme. En plein processus électoral contesté du fait de l'exclusion des opposants de la compétition électorale, cet acte n'est pas du goût de l'ancien député Dah Woudji Woudji Maxime Houédjissin.  L'honorable pense que de tels agissements constituent une << pure intimidation >>. Selon lui, ce sont des manoeuvres qui visent à empêcher l'opposition et le peuple béninois de réclamer son droit de participer librement à la présidentielle. Aussi, ajoute l'honorable, le pouvoir en place craint la raclée qu'il peut avoir en cas d'élection libre, juste et transparente. << Ça  dénote de leur part la peur >>, a-t-il indiqué. Dah Woudji Woudji conclue que le temps n'est pas à la création des ennuis de jus

Le Bénin est dans une mauvaise passe. À la veille de la présidentielle, la situation socio-politique du pays va de mal en pire. À la base, les réformes politiques engagées par Patrice Talon depuis son avènement à la tête du Bénin. Après deux élections, législatives et municipales, exclusives, le régime Talon s'attèle à entreprendre une troisième. Cela plonge le pays dans une atmosphère précaire. Sorti de son silence, l'ancien député Dah Woudji Woudji Maxime Houédjissin affirme que le chef de l'État n'a pas pu être capable de mettre ainsi le pays à terre tout seul. Selon lui, deux anciens présidents de l'Assemblée nationale sont ceux qui lui ont donné les moyens. << Ils ne pourront pas être exonérés du drame que mon pays vit aujourd'hui >>, clame-t-il.   Dah Woudji Woudji pointe du doigt accusateur ces deux hommes qui sont rentrés dans dans la scène politique béninoise dans les années 1970 et qui ont été récemment l'un président du parlement et l&

Pas de temps à perdre. Le parti de l'opposition Les Démocrates a répondu à l'accusation de l'honorable Rachidi Gbadamassi. À travers une déclaration de presse tenue dans la soirée de ce jeudi à Cotonou, Patrick Djivoh, le colistier de la candidate Réckya Madougou a fait des déballages qui accablent Gbadamassi. Selon ses dires, la candidate Réckya Madougou ne s'est jamais portée vers Rachidi Gbadamassi pour le marchander. C'est bien le sens contraire. À en croire Patrick Djivoh, c'est plutôt le député membre du Bloc républicain qui est allé solliciter la candidature de Madougou contre Patrice Talon. << Il n'y a que vous, madame, qui puissiez nous aider à chasser ce monsieur (Patrice Talon, je NDLR) du pouvoir. C'est un président cynique. Moi-même je risque la prison si ce monsieur revient au pouvoir >>, a-t-il révélé. Patrick Djivoh a ensuite juré que c'est plutôt Gbadamassi qui a réclamé une forte somme à la candidate aux fins de lui mobi

Ils sont vraiment dépités. Se taire valait clairement mieux. Suite aux déclarations de la candidate à la présidentielle Réckya Madougou et de l'honorable Hamed Affo Obo dit Souwi, les membres du parlement contesté vont dans tous les sens. Hier, c'était un défilé de deux commis pour mettre du sable dans le gari de Souwi. On a plutôt noté des propos variés et variables aux côtés d'un Souwi debout sur sa ligne du début avec de développement plus clair que le précédent. Même si la Cour constitutionnelle a jugé meilleure la ligne brisée à la ligne droite.  Ce jeudi, deux députés ont cru devoir accomplir le job de jeter de l'opprobre sur Madougou. Elle et encore elle. À l'arrivée, ces sorties sont plutôt à l'avantage de Réckya Madougou. La "trop belle pour diriger le Bénin" doit s'en frotter les mains. Rachidi Gbadamassi et Mama Sanni ont tout simplement demandé à leur clan subdivisé en UP et BR de cesser de mentir. Car, contrairement à ce que leurs coll

La réaction de l'ancien ministre, Galiou Soglo ne s'est pas faite attendre suite à l'accusation portée sur lui par le procureur de la République près le tribunal de première instance de deuxième classe d'Abomey-Calavi. Accusé de manque de franche collaboration par ce dernier, le candidat à la présidentielle de 2021, qualifie cela de criminel. Galiou Soglo rappelle, par le truchement de sa cellule de communication, toutes les étapes de sa collaboration avec la police ainsi que ses démarches qui prouvent à suffisance le contraire de la version du procureur.  Pour le candidat agressé par balle réelle et touché au thorax le samedi 6 février, ces agissements, du procureur de la République, relais du gouvernement, sont preuves de la volonté du régime de Patrice Talon d'étouffer les vérités autour de l'agression barbare dont il a été victime. Le fils de l'ancien président de la République du Bénin s'en remet au peuple béninois qu'il sait suffisamment capabl

Se rappelant amèrement de la tentative d'assassinat dont il a été victime la nuit du 29 au 30 janvier 2019 et observant la situation socio-politique actuelle, surtout la fusillade de l'ancien ministre Galiou Soglo, l'ancien ambassadeur Rufin Zomahoun conclue un << contexte politique délétère >> au Bénin. L'homme reste droit dans son engagement d'oeuvrer pour la préservation des acquis démocratiques garantis par la Constitution souveraine de 1990. Dans un message adressé au peuple, l'ambassadeur Rufin Zomahoun déplore la façon dont le processus électoral actuellement engagé se déroule. Pour lui, cette situation mérite une prise de responsabilité. Il parle de la confiscation de la démocratie béninoise et invite le peuple à << activement resserrer nos rangs pour faire barrage, pacifiquement, à cette confiscation de notre démocratie et de nos libertés mais aussi à cette prise en otage de notre économie >>. Selon le l'ambassadeur, l'he

Au Bénin, la Commission électorale nationale autonome (Cena) a publié la vendredi la liste de candidatures provisoirement retenues. A l'arrivée, 3 duos sont maintenus sur 20 intentions manifestées à l'étape des dépôts de dossiers. Le parrainage des candidatures est la principale raison du rejet de tout ce monde de dossiers. Pour l'opposition béninoise, cette condition n'est rien d'autre qu'une invention du pouvoir Talon pour esquiver la compétition électorale comme il l'a toujours fait depuis le début de son règne.  << Les parrainages sont confisqués >> à clamé Rékya Madougou, candidate du parti de l'opposition Les Démocrates après le dépôt de son dossier à la Cena. Mais la semaine dernière, les soutiens de Patrice Talon, surtout certains responsables de l'union progressiste (Up) ont tenté d'indiquer le contraire. Selon ces derniers, le parrainage est libre et ce sont plutôt les membres de l'opposition qui n'ont pas fait de dé

Les bras chargés des tables et des chaises, le conseiller communal Hyacinthe Agossa a effectué une descente à l’Ecole primaire publique de Moumoudji dans l’arrondissement de Dassa II, commune de Dassa-Zoumè. L’homme pose cet acte parce que « Sans l’école, nous ne sommes rien », soutient-il. Conscient qu’un enseignement de qualité ne peut se donner que dans de meilleures conditions de travail, le généreux donateur récidive dans ses œuvres utiles. Pour lui, chaque citoyen doit mettre la main dans la pâte pour accompagner l’éducation béninoise puisque sans l’éducation, il n’y a pas le développement. Le geste vient soulager les peines des écoliers de la localité qui partent à la recherche du savoir dans une condition catastrophique. Hyacinthe Agossa a alors volé au secours de l’école qui a vu ses premiers pas en milieu scolaire en 1986. « J’ai commencé les classes ici. Si je parle français aujourd’hui, c’est grâce à l’école de Moumoudji. Quand on m’a dit qu’il n’y a pas de chaises ni de ta

La candidate de l’opposition à la présidentielle béninoise de 2021, Rékya Madougou a tiré les choses au clair ce vendredi 12 février 2021 au siège du parti Les Démocrates. Suite aux allégations du parti de la mouvance Union progressiste (Up) qu’elle qualifie de « grotesques, incongrues et mensongères », Rékya Madougou a mis au défi quiconque apportera les preuves de ce qu’elle n’a pas entrepris des démarches pour demander le parrainage. « Quand la mythomanie devient un mode de gouvernance, on doit la dénoncer », a-t-elle affirmé. A en croire sa déclaration, elle a approché plusieurs potentiels parrains pendants que certains de ces derniers ont faire l’inverse. « De bonne foi, j’ai personnellement pris contacts avec des députés et maires et j’ai encore les traces de mes démarches. Et d’ailleurs, ma décision d’être candidate a été accélérée par certains députés et leurs maires qui sont venus me chercher pour me dire ‘‘ madame, venez nous sauver. Nous sommes avec eux, mais nous avons le c

La période électorale, c'est une question qui ne laisse personne indifférent. Les États-Unis d'Amérique viennent de se prononcer sur la présidentielle qui s'apprête à avoir lieu au Bénin et dont le processus est déjà engagé par l'institution compétente. La première puissance mondiale exhorte à cet effet le pays à garder sa couronne de pays démocratique comme c'est le cas depuis plus de trente temps. Dans la déclaration de l'ambassade du pays de Joe Biden près le Bénin, << les États-Unis partagent avec le Bénin, son désir de maintenir ce pilier de la démocratie qui lui est si cher >>. La grande démocratie mondiale a invité chaque partie à jouer sa partition en vue d'une période électorale apaisée. Aussi, les États-Unis tiennent à la sécurité du peuple béninois ainsi que celle des candidats à la présidentielle voire les acteurs de la société civile. Ils demandent à cet effet aux forces de l'ordre d'assumer leurs responsabilités. Surtout, le

C'est dans une ambiance festive que les populations de l'arrondissement central de Bantè ont accueilli le maire de la localité, Edmond Laourou Babalèkon avec à ses côtés le premier citoyen du centre, Moussa Ogou pour une séance de présentation de voeux de nouvel an. Les administrés et leurs autorités ont voulu se retrouver pour la toute première fois  au sein de l'arrondissement ce 10 février pour exprimer leur gratitude à Dieu, maître du souffle de vie d'une part et pour se féliciter du chemin parcouru depuis le début de la mandature communale en cours. L'occasion a d'ailleurs servi également d'une mini séance de travail où plusieurs sujets liés au développement dudit arrondissement ont été abordés.  Les citoyens du centre de la commune de la Bantè ont exprimé au maire et au chef d'arrondissement  le degré de leur fierté face aux efforts qu'ils ont consenti pour le bonheur de la localité depuis qu'ils sont là. << Vous n'avez pas croisé

L'ancien président de la République du Bénin, docteur Boni Yayi a pris la parole pour la première depuis que la Commission électorale nationale autonome (Cena) a enclenché le processus de la présidentielle 2021. Il s'est adressé au peuple et aux responsables à divers niveaux à travers un message sur sa page Facebook pour appeler chacun à oeuvrer pour << la paix, la sécurité de tous en ce moment sensible de notre histoire >>. Il n'est un secret pour personne que l'élection présidentielle s'annonce au Bénin sur fond de contestation et de tension. À la base, le caractère exclusif, les textes querelés qui servent de repère dont la Constitution révisée qui accorde un bonus de 45 jours au mandat de Patrice Talon. Dans son adresse dans laquelle, le prédécesseur de Talon suggère aux forces armées d'aider à la paix en ayant pas opté pour l'usage de l'arme contre le peuple, il reste ferme sur le bonus du mandat présidentiel en cours. Le non de Boni Yay

Face à la presse ce mardi 9 février 2021, les responsables du Mouvement population de libération (Mpl) n'ont pas été tendres avec certains partis politiques et personnalités qui ont porté leurs dossiers de candidatures vers la Commission électorale nationale autonome (Cena) dans le cadre de la présidentielle dont le processus est enclenché depuis quelques jours. S'agissant des partis politiques qui se sont lancés dans la course électorale, la déclaration du Mpl présentée par le secrétaire général du parti, Expérience Tèbè clame qu'ils sont des complices << de la forfaiture en cours >>. Le parti a le même sentiment vis-à-vis des personnalités qui ont déposé leur dossier en conformité avec la Constitution et la loi électorale révisées. Pour avoir agi de la sorte, Sabi Sira Korogoné et sa formation politique concluent << qu'ils ne sont plus éligibles pour parler au nom du peuple >>, car ils sont << des alliés du pouvoir et seront traités comme

  L'homme qui aurait pu être sur le point de départs des candidats à la présidentielle de 2021 était face aux professionnels des médias le vendredi 5 janvier dernier. Vingt quatre heures après la clôture des dépôts des dossiers de candidature, docteur Tayéwo Kokodé, président du mouvement EnCoRe, Ensemble Construisons notre République a expliqué à la presse les raisons de son absence. À l'occasion, il a évoqué le caractère exclusif de l'élection dont le processus est en cours et surtout les différentes démarches menées qui ont permis d'éprouver le système.  Du manifeste du Coder du 17 juillet 2020 à l'endroit du chef de l'État Patrice Talon pour suggérer une assise nationale aux différents recours devant la Cour constitutionnelle pour le contrôle de la constitutionnalité du parrainage en novembre de la même année, tout est resté vain, a souligné docteur Kokodé.  Parrainages confisqués  Le mouvement EnCoRe dans sa manière de faire, a adressé de courrier à chacun

Au Bénin, l'ancien ministre et candidat à la présidentielle 2021, Galiou Soglo fusillé vendredi alors qu'il était en déplacement à l'intérieur du pays dans le département de l'Atlantique. Un acte barbare que la Coalition s'Engager pour le Bénin (Ceb) dont il est membre a condamné le lendemain, samedi, dans un communiqué après qu'il ait dépêché des représentants à ses chevets la nuit durant.  La Coalition dirigée par l'ancien ministre des finances contraint en exil par le régime, Komi Koutché a fustigé par la même occasion, les actes du genre qui sont légions au Bénin surtout que les victimes sont uniquement des opposants à la rupture Talon. La Ceb a invité le peuple béninois à ne pas céder à la peur et aux intimidations qui sont les seules finalités des fréquents enlèvements, arrestations et éliminations physiques. COMMUNIQUÉ DE PRESSE  LA COALITION S'ENGAGER POUR LE BÉNIN CONDAMNE L’AGRESSION CONTRE L’ANCIEN MINISTRE GANIOU SOGLO  Bénin, samedi 06 févri

  Vivre en paix, c'est vivre dans un environnement sain. Cela a motivé le chef d'arrondissement de Bantè, Moussa Ogou dans son projet de salubrité initié sur son territoire. Ce samedi 6 février 2021, l'autorité entourée de plusieurs jeunes et sages s'est rendue sur le grand marché pour l'opération ville propre.  Dans une assiduité citoyenne, les filles, fils et sages de l'arrondissement central du pays des pactes de terre avec à leur tête le premier responsable du lieu ont promené des coups de houes, coupe-coupes et balais à l'intérieur comme dans les alentours du marché de Bantè. À l'arrivée, les quelques heures de travail ont donné une image radieuse du marché. << Ce sera suicidaire et nous serons tous coupables, moi en premier, si nous laissons le marché dans les ordures et l'insalubrité ainsi. Les femmes du marché qui sont nos mamans sont les premières victimes et les usagers sont exposés à plusieurs égards >>, a fait remarquer Moussa