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Les bras chargés des tables et des chaises, le conseiller communal Hyacinthe Agossa a effectué une descente à l’Ecole primaire publique de Moumoudji dans l’arrondissement de Dassa II, commune de Dassa-Zoumè. L’homme pose cet acte parce que « Sans l’école, nous ne sommes rien », soutient-il. Conscient qu’un enseignement de qualité ne peut se donner que dans de meilleures conditions de travail, le généreux donateur récidive dans ses œuvres utiles. Pour lui, chaque citoyen doit mettre la main dans la pâte pour accompagner l’éducation béninoise puisque sans l’éducation, il n’y a pas le développement. Le geste vient soulager les peines des écoliers de la localité qui partent à la recherche du savoir dans une condition catastrophique. Hyacinthe Agossa a alors volé au secours de l’école qui a vu ses premiers pas en milieu scolaire en 1986. « J’ai commencé les classes ici. Si je parle français aujourd’hui, c’est grâce à l’école de Moumoudji. Quand on m’a dit qu’il n’y a pas de chaises ni de ta

La candidate de l’opposition à la présidentielle béninoise de 2021, Rékya Madougou a tiré les choses au clair ce vendredi 12 février 2021 au siège du parti Les Démocrates. Suite aux allégations du parti de la mouvance Union progressiste (Up) qu’elle qualifie de « grotesques, incongrues et mensongères », Rékya Madougou a mis au défi quiconque apportera les preuves de ce qu’elle n’a pas entrepris des démarches pour demander le parrainage. « Quand la mythomanie devient un mode de gouvernance, on doit la dénoncer », a-t-elle affirmé. A en croire sa déclaration, elle a approché plusieurs potentiels parrains pendants que certains de ces derniers ont faire l’inverse. « De bonne foi, j’ai personnellement pris contacts avec des députés et maires et j’ai encore les traces de mes démarches. Et d’ailleurs, ma décision d’être candidate a été accélérée par certains députés et leurs maires qui sont venus me chercher pour me dire ‘‘ madame, venez nous sauver. Nous sommes avec eux, mais nous avons le c