BIENVENUE CHEZ CLEM'SO MEDIAS

  Ils ont encore frappé et du coup, c’est un mardi noir au Bénin. Ils, ce sont les djihadistes qui sèment la terreur au bénin depuis maintenant plusieurs mois. Aux alentours de 3 heures du matin de ce mardi, c’est un commissariat de Monsey, une localité de la commune de Karimama qui a été la cible des ces hors la loi. Il est indiqué que le groupe armé était en déplacement sur quatre motos. Ils ont ouvert le feu sur le commissariat pour entrainer des échanges de tirs entre eux et les forces béninoises. Dans cette violence, un sous-brigadier de police a été mortellement atteint sur place. Le groupe terroriste a ensuite mis feu au commissariat pour ajouter des dégâts matériels à celui humain occasionné. A la fin de leur opération, les terroristes, à en croire les sources, ce seraient replier sur un lieu où ils sont soupçonnés installer leur base. Il faut souligner qu’il n’y pas longtemps, les djihadistes ont également opéré, causant la mort de 5 hommes en uniforme. La peur s’empare des po

  Depuis hier, les délégations des partis politiques défilent chez le médiateur de la République. Et pour cause, ils ont été invités à faire parvenir à Pascal Essou des propositions et suggestions en vu d’une élection apaisée en 2023. L’année à venir, les béninois seront appelés dès le 8 janvier à choisir leurs représentants pour siéger à l’Assemblée nationale. Une initiative pour prendre langue avec les acteurs politiques en vue de vivre des élections dans des atmosphères de joie reste une bonne chose. Seulement, on en a assez vu au Bénin sous le régime de la rupture que conduit Patrice Talon. Toutes les fois, ces consultations se sont révélées être une vraie farce. A la porte de 2019, de face-à-face avait été organisé entre les partis politiques et le président de la République. Mais à l’arrivée, les responsables de l’opposition ont eu droit à des accusations de toute sorte faisant croire « qu’ils sont simplement incapables d’aller aux élections ». La suite n’a pas été une partie de

    C’est un grand bruit qui a couru lorsqu’il a été su par le peuple le salaire réservé aux députés qui occupent le parlement sans opposition. Mais on ne va pas s’en arrêter là. La nouvelle trouvaille, c’est une stratégie qui se met en place pour continuer de graisser ces députés même s’ils ne sont plus au cercle actuel où tout se passe en copains, amicalement. Une loi est donc proposée pour instaurer la pensée aux anciens députés et autres présidents des institutions de la république. Une proposition qui choque comme la plupart des propositions de cette célèbre assemblée nationale. Scandalisé, l’ancien député du plateau d’Abomey, Maxime Houédjissin Dah Woudji Woudji donne de la voix. Pour lui, cette fonction ne mérite pas une pension si cela demeure que les députés sont les représentants du peuple. Dah Woudji Woudji se demande à cet effet si « le peuple bénéficie d’une pension de retraite ». A l’en croire, c’est une nouvelle folie de ce parlement et c’est pourquoi d’ailleurs, Maxime