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  Il y a longtemps les béninois n'ont plus connu d'élections festives. Une autre se pointe à l'horizon et tous restent indécis quant au nouveau feuilleton auquel le Bénin et le monde vont assister.   En 2023, le 8 janvier, les béninois iront de nouveau aux urnes. Ce sera à l'occasion des élections législatives de 2023 tel que l'a décidé la Cour Djogbénou. Ainsi, l'on sera à une troisième élection sous le régime de la rupture portée par Patrice Talon. À y penser, les béninois peinent à se fixer quant à la surprise à laquelle il faut s'attendre.  En effet, depuis l'avènement au pouvoir de Patrice Talon, en avril 2016, le Bénin a déjà connu trois échéances électorales. Les trois rendez-vous ont tous donné des couleurs affreuses et ont laissé des goûts amers. En 2019, il était question d'élire les députés qui allaient succéder à la 5ème législature. Mais l'occasion a été loin d'être un moment de fête. De certificat de conformité aux fautes mineur

Triste événement à Lokossa au sud-ouest du Bénin ce jeudi 3 mars 2022. Dans le département du Mono, une collégienne s'est donnée la vie suite à un fait incroyable. Selon les faits rapportés par les réseaux sociaux, la fille qui s'est tuée était une collégienne au collège catholique de cette localité a obtenu une mauvaise note à l'école.  L'apprenante s'en est sortie avec une note de 08 sur 20 (08/20) dans une matière. Pour tromper la vigilance des siens, cette dernière a pris soin de transformé ladite note en 18/20. Découverte dans sa magouille, l'élève a subi d'humiliation de sa mère devant ses camarades, sa maman ayant débarqué au collège. Ne pouvant pas supporter, la collégienne s'est résolu à supprimer sa propre vie à la sortie des cours. Les sources rapportent rapportent qu'elle est montée au deuxième étage pour plonger dans le vide et se donner la mort.

Cela fait déjà 1 an que Réckya Madougou, ancienne ministre béninoise et candidate recalée du parti de l'opposition "Les Démocrates" est privée de sa liberté. Un triste événement que se rappelle ses camarades de lutte qui ont donné de la voix par le biais d'un communiqué signé du président Éric Houndété. Rappelant les circonstances « arbitraires » de l'arrestation de leur candidate, Éric Houndété et les siens assurent que que cette mise en prison de Réckya Madougou est une manipulation politique et surtout la volonté du régime d'empêcher la compétition électorale. « Les ennuis judiciaires de Madame MADOUGOU ont pour origine sa décision  de participer à l'élection présidentielle », peut-on lire dans le communiqué.  Le parti dirigé par Houndété a alors exigé la libération de l'ancienne ministre condamnée à 20 ans de prison par la Criet, car, selon lui, sa détention est « une injustice flagrante inacceptable » et donc sa libération immédiate. Le parti de l

Depuis le lundi 28 février dernier la cheffe d'une agence de structure de tontine est dans les mains des forces de l'ordre. Elle est en effet poursuivie pour « escroquerie en tontine » communément appelée " adôgbè ". Selon les médias béninois, les victimes devaient entrer en possession de leurs lots depuis le mois de septembre de l'année écoulée. Et cela n'a jamais eu lieu même si l'accusée, comme si de rien n'était, poursuit toujours les collectes des fonds.  Exacerbées, les victimes ont fait recours à la police républicaine qui n'a pas hésité à mettre la main sur la mise en cause. Arrêtée, l'accusée clame qu'elle n'en est pour rien, car à chaque fois qu'elle procède aux collectes, elle les reverse au responsable de l'agence. Cette dernière a indiqué, selon les sources, que son responsable est en fuite et qu'elle même n'a plus de ses nouvelles. En attendant de voir clair dans cette affaire qui implique une somme à l'

La situation confuse en cours entre l'Ukraine et la Russie fait couler beaucoup d'encres et de salives partout da s le monde. Observateur de la chose politique nationale et internationale, l'institutionaliste Simon-Narcisse Tomety s'est une fois encore prononcé sur la guerre en Ukraine. Selon le docteur, la conflit armé ne saurait être la solution pour un problème que ce soit. L'homme s'est exprimé ainsi vu que partout sur la planète, le monde est divisé entre pro et anti Poutine. « Aucune guerre, aucun dictateur qu'il soit de peau blanche ou noire ne peuvent représenter un salut collectif pour l'humanité », assure-t-il.  On le sait. À l'assemblée générale des nations unies, les pays du monde ont procédé au vote à propos de cette situation confuse entre Zelensky et Poutine. C'est ainsi que d'aucuns portent leur caution à l'Ukraine et d'autres à la Russie. Les pays africains ont également attribué leur voix. Mais pour le docteur Tomety