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Des forces se constituent autour du parti de l'opposition béninoise « Les Démocrates ». Ce parti porté par le peuple est sur le point d'enregistrer une organisation des enseignants du Bénin. Le samedi 30 juillet 2023, il y a eu un tête-à-tête à Cotonou entre le secrétaire national à la jeunesse, aux sports et aux loisirs (Snjsl) dudit parti, Gafari Adéchokan et le noyau qui cuisine la ligue. Avec à ses côtés le snjsl de la 15ème circonscription électorale, Zacharie Bidé et le secrétaire administratif du parti, Kamar Ouassagari, le secrétaire national à la jeunesse a manifesté son impatience de voir cette ligue se mettre en place. « Je suis très heureux de vous avoir ici ce soir. Nous sommes dans un pays où tout va à l'envers. Et dans ce cas, c'est nous qui devons faire quelque chose. On doit se mettre ensemble afin d'être forts », a-t-il laissé entendre.  De leurs côtés les enseignants n'ont pas caché leur dévouement à travailler avec le parti de la flamme de l&

« Dans le cadre des prochaines législatives, la coordination a réaffirmé sa volonté ferme d'y prendre part », a fait savoir le parti de l'opposition « Les Démocrates » par la voix de son secrétaire administratif, Kamar Ouassagari. Une fois encore le parti a dissipé les doutes au sein de l'opinion publique nationale et internationale. Il compte être sur le point de départ pour le compte de compétition électorale du 8 janvier 2023. À la fin de la journée chargée de la coordination nationale du parti de la flamme, la déclaration qui a suivi a tenu à refaire cette mise au point et à surtout livrer une dernière consigne aux militants. Dans sa volonté de compétir et de remporter la bataille des législatives, le parti a convié les militants à se mettre davantage au travail. « La Coordination Nationale invite les militantes et militants à continuer les mobilisations dans leur circonscription électorale afin que l'objectif électoral fixé soit atteint au soir du 8 janvier 2023 »,

Une déclaration a sanctionné la fin des travaux de la 3è session de la coordination nationale du parti de l'opposition béninoise « Les Démocrates » tenue hier à Cotonou. Si le parti de la flamme a évoqué la finalisation de l'installation de ses structures de base et sa participation aux prochaines législatives, la formation dirigée par Éric Houndété s'est surtout prononcé sur la récente libération de certains prisonniers politiques.  Le « parti du peuple » s'est réjoui de voir ces individus détenus relâchés. Mais selon la coordination nationale de cette formation politique, c'est évident qu'il reste à faire. Comme certains ont été laissés libres de leurs mouvements, a commenté le parti, « un grand nombre de militants qui reste encore en prison » doit aussi recouvrer sa liberté. Pour y arriver, le parti « Les Démocrates » trouve la solution dans la prise d'une loi d'amnistie. « Ainsi, la Coordination Nationale insiste sur la nécessité d'une amnistie g

  Ce n’est pas un vendredi de repos au parti de l’opposition « Les Démocrates ». Depuis ce matin à son siège à Gbèdjromèdé à Cotonou, les membres de la coordination nationale sont en réunion comme l’exigent leurs textes internes. « C’est la première fois qu’on est venus en aussi grand nombre » s’est réjouit le premier vice-président du parti, l’honorable Nourénou Atchadé dans son d’ouverture de la séance. Selon lui, voir la coordination ainsi est signe de l’engagement des membres à œuvrer pour gagner le pari que s’est fixé la formation politique. « Je souhaite que ça continue ainsi pour les prochaines activités et sessions du parti », a formulé Nourénou Atchadé. 5 points principaux sont retenus pour animer les travaux. Le premier vice-président a, pour finir, appelé la concentration de tous en vue de la réussite cette réunion statutaire.

    Lorsque la question surgit de savoir le sort réservé aux détenus et aux exilés politiques, la réponse du président béninois Patrice Talon est claire. Dans un premier temps, Patrice Talon a indiqué « qu'il n'y a pas de détenus politiques au Bénin ». Ensuite, il a poursuivi que personne n'est exilé car, « il n'y a eu aucun décret signé qui a désigné quelqu'un exilé ». Cette réponse du chef de l'État à la curiosité du journaliste du journal " Le Monde " n'est pas à blâmée, elle contraint juste à faire un parallélisme avec l'histoire.  Le président de la République française, Emmanuel Macron a eu une visite du travail au Bénin. C'est lors de la conférence de presse conjointe entre les deux chefs d'État que le président béninois a nié l'existence de détenus et exilés politiques politiques dans son pays. Pourtant, nulle n'ignore depuis 2016, année de l'entrée en exercice du régime de Talon, ce qui se passe en matière d'exp

   Au nombre de 30, des individus arrêtés dans la foulée de la présidentielle 2021 sont relâchés et placés sous contrôle judiciaire. Parmi ceux-ci, figurent l'ex ministre Houdou Ali, le deuxième adjoint au maire de Bantè ainsi des jeunes leaders de l'opposition Moudjibou Laourou et Nadine Okoumassoun. PUBLICITÉ  

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                   Rosine SOGLO est décédée à l'âge de 87 ans un 25 juillet  2021. L'ancienne doyenne d'âge du palais des gouverneurs a, à sa manière, marqué les grands moments de l'histoire politique et social de notre pays depuis l'avènement du renouveau démocratique. Dans sa vie, Rosine SOGLO fut un exemple d'engagement comme il en existe peu aujourd'hui.  De son vrai nom Rose-Marie Honorine VIEYRA, Rosine est née une 7 mars 1934 et est la seule fille d'une fratrie de 4 garçons. Elle arrive en France dans les années 1948 afin de poursuivre ses études.  Elle sortira huissier dans un premier temps puis avocat.  En 1958, elle convole en justes noces avec Nicéphore SOGLO et de cette union naquirent deux enfants: Léhady et Ganiou SOGLO.  L'histoire de notre pays  portera plus tard son époux à la magistrature suprême, nous sommes en 1991. Rosine impose alors sa marque en instituant le rôle de première dame dans le protocole d'Etat. Femme engagée et

Il y a un an, l'ancienne première dame du Bénin, Rosine Vieyra Soglo est décédée. Pour commémorer les 360 premiers de son décès plusieurs activités ont eu lieu. Au nombre de celles-ci, une série de messe pour le repos de son âme dans les paroisses St Michel et Bon Pasteur à Cotonou. Le parti « Les Démocrates » a marqué sa présence à la célébration de l'eucharistie de 12h45 à l'Église Bon Pasteur. Dans la délégation présente, figurent le premier vice-président du parti de la flamme, l'honorable Nourénou Atchadé, le troisième vice-président, ministre Alassane Tigri et le vice-président chargé du littoral, Joël Godonou.  Pour le parti « Les Démocrates », l'ex première dame mérite d'être célébrée. « Elle nous a accompagnés pour la création du parti « Les Démocrates ». Elle est elle-même une démocrate hors pair et donc nous (Parti Les Démocrates, NDLR) ne pouvons pas lasser passer le premier anniversaire de son décès », a indiqué le chargé du littoral, Joël Godonou.

Depuis le matin de ce lundi 25 juillet 2022 où cela fait un an que l'ex première dame Rosine Vieyra Soglo quittait ce monde, des messes s'enchaînent aussi bien à la paroisse St Michel qu'à Bon Pasteur. La célébration de l'eucharistie de ce 12h45 a connu la participation d'une délégation du parti « Les Démocrates ». On note entre autres la présence du ministre Alassane Tigri, du premier vice-président Nourénou Atchadé et du vice-président chargé du littoral, Joël Godonou. La messe est en cours...   À suivre... 

365 jours sont  passés, Le 25 juillet de l'année écoulée, l'ancienne première dame, Rosine Vieyra Soglo rendait l'âme. La nouvelle du départ d'une figure féminine de la politique béninoise a mis le pays dans tous ses états. Un an après, les souvenirs restent vifs Par Clement WINSAVI Le 25 juillet 2021, le ciel du Bénin s'est assombri. La nouvelle tombe comme un séisme. Rosine Vieira Soglo vient de passer de vie à trepas. Cette nouvelle s'est répandue dans tous les coins du pays come une traînée de poudre et a causé toutes sorte d'émotions. Le Bénin vient ainsi de voir disparaître une des femmes la plus politiquement engagée que le pays ait jamais connue. À 87 ans, l'épouse de Nicéphore Dieudonné Soglo, ex-président du Bénin affectueusement appelée « Maman nationale » a quitté le monde. Son époux, le président Soglo a témoigné à cet effet que « c'est cette femme-là qui m'a permis d'être aussi solide ». Au ministre Ganiou Soglo d'ajouter qu

  Emmanuel Macron, président de la République française s'apprête à se rendre à Bénin. Cotonou attend son visiteur le 27 juillet qui vient. Cette descente, au regard de la relation entre la France et le Bénin, est faite de plusieurs couleurs. Du coup, des craintes, des souhaits, des exigences déesse le tapis sur l'axe Cotonou-Paris. Dans une lettre ouverte adressée au président français, l'écrivain-poète béninois Julien Kandé Kansou a exposé les attentes des béninois face à cette visite de Macron au pays de Talon. Dans sa plume, Julien Kandé Kansou espère que Paris ne va pas fermer les yeux sur l'oppression du régime de Cotonou et qu'au contraire, il sera question pour Emmanuel Macron de mettre à profit son passage en terre béninoise pour exhorter son homologue à repartir sur les rails de la démocratie et la justice afin que désormais les élections soient inclusives, des prisonniers politiques libres et des exilés au bercail.  LIRE LA LETTRE OUVERTE DE JULIEN KANDÉ

Le président français Emmanuel Macron annoncé à Cotonou le 27 juillet prochain. Ce sera l'occasion d'une visite officielle pour rencontrer son homologue béninois. Sur les lèvres, des interrogations. Quelle sera la substance du message que peut porter le numéro des français au régime de Cotonou ? Il en est ainsi, vu que le Bénin, depuis l'installation de la rupture en 2016, s'éloigne de plus en plus de la démocratie.  Le député écologiste de Rhône et secrétaire de l'Assemblée nationale française, Hubert Julien-Laferrière a, à cet effet, rappelé au président de son pays sur le comportement et la mission qui doivent être les siens une fois en terre béninoise. Pour ce faire, il a évoqué la situation alarmante des opposants politiques qui sont soit emprisonnés ou contraints en exil. Le député français est également revenu sur le retrait du Bénin de la liste des pays d'origine sûrs par le Conseil d'État de son pays pour faire constater que c'était une décision

L'atmosphère est délétère au Bénin et les conditions de vie des populations sont difficiles. Faute du régime en place, tous les ménages se plaignent et la situation s'empire au jour le jour. Les pêcheurs comme vendeurs de poissons d'Akpakpa Dodomey, Énagnon et Codji ne sont pas épargnés. Ils ont fait entendre leur cri de détresse ce vendredi 22 juillet au président du parti de l'opposition béninoise « Les Démocrates », Éric Houndété et au chargé des questions électorales, Patrick Suivi lors d'une descente effectuée dans ces localités d'Akpakpa, Cotonou.  À la délégation du président Éric Houndété et des leaders Patrick Djivo, Armand Agoun et compagnie, les pêcheurs et vendeurs de poissons d'Akpakpa ont été sans équivoque. Face à la gouvernance actuelle qui affame le pays, leur choix est draconien. Le parti « Les Démocrates » a leur caution pour le 8 janvier afin que les choses reviennent à la normale. Le numéro du parti de la flamme a décerné un satisfecit a

        C'est sans répit pour le coordonnateur du parti « Les Démocrates » (LD) de la 15ème circonscription électorale du Bénin. Armand Agoun et son équipe font bouger les lignes sur ce territoire de jour comme de nuit. Mercredi dernier, c'est le 2ème arrondissement de Cotonou qui a accueilli l'infatigable équipe dans le cadre de l'installation des cellules de 7 quartiers. Engagés aux côtés du parti « Les Démocrates », le coordonnateur dudit arrondissement, Dénis Bareto et les militants à la base ont manifesté leur joie de voir les instances locales ainsi installées car, cela facilitera le fonctionnement du parti de la flamme dans la localité.  Pour accomplir cette tâche pour le compte du parti du peuple, le coordonnateur Armand Agoun s'est fait entouré de plusieurs leaders comme Gafari Adéchokan, Iliassoun do Rego, Laurent Djigui et en première ligne l'honorable Patrick Djivo. Ce dernier a appelé les militants à plus de détermination. « Le travail a commencé et

  C'est fait. Suite à la première délibération mercredi dernier et après la composition des épreuves facultatives et l'organisation des épreuves physiques et sportives, les candidats au baccalauréat session de juin 2022 au Bénin  sont de nouveau fixés. Certains candidats sont déclarés définitivement admis et ils connaissent du coup leur mention. Ainsi, ceux qui ne sont toujours pas tires d'affaire vont poursuivre l'aventure et ils iront donc à l'oral.  Les résultats sont consultables sur la plateforme mise en place par le gouvernement béninois. Il s'agit de https://www.eresultats.bj/  Bonne suite aux candidats qui passeront le troisième tour.

  C'est l'heure des résultats des divers examens de fin d'année. En Guinée Conakry, 9% de candidats ont tiré leur épingle du jeu. Un résultat qui égaie personne comme l'a fait constater le ministre guinéen de l'éducation, Guillaume Hawing Junior qui a indiqué que cela relève de « la faute de tous ». Il faut souligner que le verdict livré par le BEPC n'est pas non plus reluisant. Le taux d'admissibilité est de 15% à ce niveau.

« Merci à tous ceux-là qui ont contribué à la réussite de l'événement. Je remercie également tous ceux qui ont entendu ou qui ont lu dans les journaux l'information de ma décoration et qui spontanément ont fait le déplacement de cet après-midi pour me soutenir ». Tels sont les premiers mots de docteur Hyacinthe Agossa après sa distinction comme artisan du développement. C'était à l'occasion de la 2ème édition de la soirée de l'indépendance initiée par l'Ong Ewa Africa dans la perspective des 62 ans de souveraineté nationale du Bénin. Parmi la vingtaine de récipiendaires de ce samedi 16 juillet 2022 à Abomey-Calavi, figure docteur Hyacinthe Agossa, conseiller communal et enseignant d'université. L'homme a été identifié pour être ainsi récompensé au regard de ses multiples actions à la faveur de l'éducation, de la jeunesse et sa commune. À en croire le promoteur de l'événement, le choix de Dr Hyacinthe Agossa n'est pas un hasard. « J'ai con

L'ancien ministre des sports ainsi que de la culture, Ganiou Soglo sort de nouveau du silence. Le fils de l'ex président Nicéphore Dieudonné Soglo a donné son appréciation de la gouvernance du pays sous le régime de la rupture en insistant particulièrement sur le volet économique qui, selon lui, asphyxie le peuple béninois. Pour cet ancien député attaché à la transparence et surtout à la situation du bas peuple qui doit être priorisé dans les actions d'amélioration des conditions de vie, le gouvernement de la rupture a tout faux. Le ministre Ganiou Soglo a déploré la politique financière du régime Patrice Talon. « Le gouvernement béninois n'est pas transparent pour un sou. Nous ne savons pas comment est utilisé cet argent », a-t-il regretté. L'ancien ministre a indiqué que pour l'intérêt du peuple béninois, le régime en place devrait plutôt procéder autrement. « L'axe fondamentale sur laquelle on devrait appuyer les financements, c'est le capital humain.

« C’est la première fois dans notre pays depuis que nous avons défini le cadre légal constitutionnel, qu’un président de cette institution démissionne », a fait constater logiquement Expérience Tèbè à l'annonce de la démission de Joseph Djogbénou de la tête de la Cour constitutionnelle. Tout juste après ce constat, le président du parti de l'opposition Mouvement populaire de libération (Mpl) a livré sa thérapie en vue de contrer ce qu'il a appelé « énième manœuvre de la rupture » Et comme c'est son habitude et celle du parti dont il a la charge, Expérience Tèbè s'attaque beaucoup plus aux solutions face aux équations qu'aux spéculations infructueuses. À l'en croire, l'heure est venue pour la classe politique de l'opposition d'unir les forces. Il a appelé ses pairs qui font face au régime de Patrice Talon à se serrer les coudes dès à présent en vue de faire le sacrifice nécessaire qui va libérer le peuple béninois. À cet effet, il a évoqué « l’imp

Les jours passent et le régime de la rupture conforte l'opposition béninoise qui croit dur que « les institutions de la République sont banalisées ». Si dans un premier soit ce sont des relations amicales qui priment lorsqu'il question pour Patrice Talon de désigner des personnalités à la tête des institutions, en second lieu, c'est l'illustration de ces personnes choisies au mépris total des citoyens et de la République qui s'observe. Dans un passé récent, c'est le ministre de la justice, Séverin Quénum qui a déclaré « qu'il n'y a pas de prisonniers politiques au Bénin ». Une déclaration qui a scandalisé tout le peuple béninois.  Depuis mardi, Joseph Djogbénou est sous tous les projecteurs. Il a démissionné de son poste de président de la Cour constitutionnelle. Si comme la majorité des béninois, le premier vice-président du parti "Les Démocrates", Nourénou Atchadé reste sûr que « la Cour constitutionnelle sous sa gouvernance n'a rien fait