BIENVENUE CHEZ CLEM'SO MEDIAS

Les forces de sécuritaire sont notre espoir La situation, elle ne plait à personne. Nos hommes en uniforme sont à nos côtés pour assurer notre sécurité et celle de la Nation. C’est avec profond regret qu’on constate depuis peu qu’à chaque fois qu’il y a frottement entre les hors-la-loi et les agents des forces de l’ordre, ce sont les derniers qui s’en sortent perdants.  J’en veux pour preuve les trois hommes en uniforme arraché à notre affection hier par les braqueurs portant le nombre à 5. En l’espace de 5 mois donc, la République a perdu 5 hommes en uniforme et si les braqueurs arrivaient à maintenir ce ratio, l’on risque d’atteindre 12 policiers tués en 1 an et 60 en 5 ans. Nous ne souhaitons jamais cela. C’est pourquoi à mon avis, l’heure n’est pas à l’insulte ou à la diabolisation de l’un ou de l’autre. Certes, les populations ont raison d’avoir la dent dure contre le directeur général de la police nationale, Louis Philippe Houndégnon. A mon avis, la solution n’est pas là.

  Membre influant du Mouvement pour un sursaut patriotique (Msp), Gustave Akodjinou était hier l’invité de l’émission Cartes sur table de la Radio Océan Fm. Occasion pour lui de lever un coin de voile sur les convictions qui sous-tendent la création du Msp. Il n’a pas manqué de donné sa lecture de la gestion actuelle de l’Etat. Le secrétaire aux relations publiques du Mouvement pour un sursaut patriotique(Msp), Gustave Akodjinou membre des Forces cauris pour un Bénin émergent (Fcbe), qui se réclame de la mouvance critique, est intervenu hier sur la Radio Océan Fm. Selon ses propos, le Msp n’est ni un mouvement de la mouvance ni de l’opposition, mais plutôt un cercle mis en place pour tous ceux qui sont pour le respect des principes démocratiques. Dans le viseur du mouvement, a indiqué l’invité, la lutte pour l’organisation des élections qui se reportent au jour le jour. C’est pourquoi, Gustave Akodjinou a indiqué que ‘‘la situation est inquiétant et il faut tirer sur la sonnet

François Mensah s'en est allé laissant un grand vide... ...dans le Groupe de Presse Fraternité François meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent. Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ? François meurt, et c’est comme un arbre qui tombe. Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ? François meurt, et c’est comme une porte qui claque. Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ? François meurt, et c’est comme un silence qui hurle. Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ? Effectivement, le départ de François m’a tellement fait entendre Et comprendre que la musique de la vie est très fragile. Aujourd’hui  je n’ai plus, et ce désormais, l’opportunité d’explorer les colonnes De groupe de presse FRATERNITE avec lui. Il a creusé un grand fossé dans la cours de la presse béninoise, Mais et si c’était pour remblayer un trou dans la planète des heureux ? Pour marcher à tes côtés, pour