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Unie aujourd’hui, dispersée demain. C’est ce spectacle que l’opposition béninoise offre au fil des jours au peuple béninois. Ce bas peuple qui pourtant s’adosse sur cette opposition, son unique repère. Il est vrai qu’aucun regroupement humain ne peut avoir que de trajectoires linéaires. Des hauts et des bas sont inévitables. L’enjeu est taille et les voies pour aller toucher l’atteinte des objectifs requièrent d’énormes sacrifices. A plusieurs reprises, l’on passe près d’une première que le peuple flaire chaque seconde : l’union sacrée de l’opposition. A la veille des législatives, finalement exclusives, le peuple béninois a rêvé. Il a appelé de tous ses vœux une liste où l’on retrouverait entre autres les partis Force cauris pour un Bénin émergent (Fcbe), Union sociale libérale (Usl), Renaissance du Bénin, Restaurer l’espoir (Re), Parti communiste du Bénin (Pcb). Mais à l’arrivée, l’opposition a servi autant de branches que de partis la composant. Espoir du peuple meurtri, b

Comme c’est le cas chaque année, le parti politique Restaurer l’Espoir dirigé par Candide Azanaï sera en Conseil national en octobre prochain. Un créneau que le parti saisit pour débattre de tous les sujets importants Candide Azanaï, Président du parti Restaurer l'Espoir  Le bureau politique du parti Restaurer l’espoir (Re) était ce jeudi 26 septembre 2019 face aux militants. Au siège du parti de l’opposition Restaurer l’espoir et en présence de son président, Candide Azanaï, trois points en débats. La tenue prochaine du conseil national ordinaire du parti, les échanges sur les sujets brulants de l’actualité nationale et le divers. Comme il est de coutume et en respect aux textes du Re, Candide Azanaï, Guy Mitokpè et Félicité Akouéson au présidium avec la présence des autres membres sur les lieux ont porté à l’attention des militants qu’ils vont bientôt se réunir. A en croire le président du parti, « on peut débattre de tous les sujets lors du conseil », rappelle-t-il

C’est verrouillé le 20 août 2019. Le président de la République fédérale du Nigéria, Muhamadu Buhari   a décidé d’être draconien face à la contrebande. Une lutte est alors engagée pour filtrer de façon millimétrée les entrées et sorties au niveau de ses frontières avec les pays voisins dont le Bénin. A l’origine, il est annoncé une durée de 28 jours pour cet exercice. Mais passé ce délai, il n’en est toujours rien au Bénin. Conséquences, les échanges commerciaux sont mis en berne, la douane du pays est en souffrance. La situation devient de plus en plus inquétante au point où le ministre béninois chargé du plan et du développent, Abdoulaye Bio Tchané sort du silence pour indiquer clairement qu’au cas où la situation va perdurer, c’est toute l’économie du Bénin qui en recevra le coup fatal. Malheureusement, cette prévision risque d’arriver. Plus d’un mois, rien n’a changé. Abuja reste ferme sur sa décision et la renforce d’ailleurs. Le patron de la douane du géant voisin de l’Es