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Affichage des articles du novembre 6, 2022

Législatives 2023 : Le parti Les Démocrates réclame ses 12 quitus fiscaux

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« A la date d’aujourd’hui, le dossier du parti ‘‘Les Démocrates’’ manque 12 quitus fiscaux », a informé le premier vice-président dudit parti, l’honorable Nourénou Atchadé. Lors d’une conférence de presse tenue à Cotonou samedi dernier, le parti a fait le point de son parcours depuis le début du processus électoral en cours au Bénin dans le cadre des élections législatives du 8 janvier 2023. « Le mercredi 2 novembre 2022, nous avons déposé sans difficulté notre dossier de candidature à la Cena et l’institution nous a automatiquement délivré notre récépissé provisoire », a introduit le numéro des « Démocrates ». L’honorable Nourénou Atchadé a ajouté qu’au dépôt, il manque 17 quitus fiscaux au dossier de son parti, mais qu’à la date de la conférence de presse le nombre du reste est passé à 12. Mais ce qui choque ce parti d’opposition, selon les propos de ce dernier, « il y a deux cas dans la non délivrance des quitus fiscaux aux candidats du parti ‘‘Les Démocrates’’. Certains ont fait la

Pour faciliter la finalisation des dossiers de candidature à la Cena : Et si la Dgi délivrait le reste des quitus fiscaux sur engagement des partis politiques ?

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Le temps presse, l’atmosphère se crispe et la tension monte au sein des populations. Et pour cause, l’odeur d’exclusion aux prochaines élections législatives qui se fait de plus en plus sentir. Certains partis politiques sont encore en attente des quitus fiscaux dont ils ont fait la demande à la Direction générale des impôts (Dgi). Le parti d’opposition « Les Démocrates » lors de sa conférence de presse tenue samedi 6 novembre 2022 a indiqué que 12 quitus de ses candidats sont encore bloqués à la structure qui les délivre. Cette situation ne rassure personne quand on sait que le manque de ce document administratif va conduire à l’invalidation des dossiers de candidature des partis politiques concernés. Le Bénin traine pourtant les cicatrices des conséquences de l’exclusion sous la rupture aussi bien en 2019 qu’en 2021. Face à cet état de chose, la direction générale des impôts a tout à gagner à faire preuve du professionnalisme et surtout du patriotisme pour régler le problème au plus