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Coronavirus. C'est la terreur du moment. Dans les quatre coin de la planète, c'est une guerre qui est enclenchée contre cette pandémie qui ravage l'être humain sur la terre. Des pays les plus touchés à ceux qui le sont moins en passant par ceux qui ont encore la chance de ne pas l'être, c'est la mise en place des dispositions les plus draconiennes face à ce mortel virus. Que l'on soit un pays développé ou en voie de développement, l'objectif reste unique; contrer coronavirus de toutes les forces étatiques. Mais en République du Bénin, cela semble encore une fiction pour les autorités, peut-on se mettre à affirmer. En effet, Patrice Talon et le gouvernement béninois semblent ne pas encore mesurer la gravité de cette pandémie qui secoue le monde entier. Malgré un conseil des ministres précipité le mardi 17 mars 2020, presqu'aucune des 11 mesures sorties du conclave n'arrive à la hauteur de la situation. Pourtant déjà deux cas confirmés de contaminé

C'est clair dans la tête des responsables du Mouvement populaire de libération  (Mpl). Le parti est stoppé dans sa course pour les élections municipales et communales de mai 2020, mais pas dans son objectif de mener une lutte pour libérer le peuple béninois. C'est l'essentiel à retenir de la conférence de presse que les responsables de ce parti ont animé au siège du parti à Cotonou le jeudi 19 mars 2020. Très amers face au rejet de leur dossier de candidature pour les élections entériné par la Cour suprême, Sabi Sira Korogoné et Expérience Tèbè crient au recul de la démocratie béninoise et surtout à une main invisible qui n'a pas intérêt à voir ce parti politique appartenant à la jeunesse compétir pour les municipales et communales. Le président et le secrétaire général du Mpl ont tenu a rendre hommage à leurs militants à qui ils ont demandé de poursuivre leur engagement en vue d'aller à l'atteinte des objectifs du parti. Le président du parti Mpl Sabi Si

Depuis le mois du décembre 2019 à nos jours, le monde tremble. Tous les humains sont exposés et sévèrement menacés par cette pandémie qui a déjà occasionné un nombre impressionnant de décès et de contamination. Une situation qui appelle à beaucoup de précautions. Ainsi, chaque pays y va de sa manière. Au Bénin, l'Église catholique a mis la main dans la pâte. En effet, la conférence épiscopale a, outre les mesures du gouvernement, décidé de suspendre les célébrations eucharistiques a compter du samedi 21 mars 2020 et ce jusqu'à nouvel ordre. Mesure salutaire au vu de la gravité de la pandémie. Chaque secteur doit faire pareil en vue de rendre efficace les dispositions contre ce mal.