BIENVENUE CHEZ CLEM'SO MEDIAS

Le couplet est chanté au Bénin et le refrain entonné en Côte d’Ivoire. Encore une histoire de 20 ans en Afrique. Le début du mois d’avril connait la condamnation à 20 ans de prison au Bénin de Komi Koutché, opposant béninois et ex ministre d’Etat en exil aux Etats-Unis et la fin de ce même mois donne l’écho de la même peine à l’encontre de Guillaume Soro en Côte d’Ivoire. Un ancien ministre d’Etat condamné à 20 ans de prison à un an des présidentielles dans son pays et un ex président de l’Assemblée nationale écope 20 ans de prison à six mois de la présidentielle. Koutché parlera d’une décision basée sur du faux tandis que Soro relève un non-événement. Les deux personnalités dans leurs pays respectifs y ont vu une stratégie d’exclusion d’opposant gênant. Et cela fait suite à la condamnation de deux autres opposants béninois à des peines d'emprisonnement. Sébastien Ajavon 20 ans et Lionel Zinsou 5 ans. Si Komi Koutché n’a jusqu’ici pas évoqué une quelconque envie de candidatur

Le couplet est chanté à Cotonou et le refrain entonné à Abidjan. Encore une histoire de 20 ans. Le début du mois d’avril connait la condamnation à 20 ans de prison au Bénin de Komi Koutché, opposant béninois et ex ministre d’Etat en exil aux Etats-Unis et la fin de ce même mois donne l’écho de la même peine à l’encontre de Guillaume Soro en Côte d’Ivoire. Un ancien ministre d’Etat condamné à 20 ans de prison à un an des présidentielles dans son pays et un ex président de l’Assemblée nationale écope 20 ans de prison à six mois de la présidentielle. Koutché parlera d’une décision basée sur du faux tandis que Soro relève un non-événement. Les deux personnalités dans leurs pays respectifs y ont vu une stratégie d’exclusion d’opposant gênant. Si Komi Koutché n’a jusqu’ici pas évoqué une quelconque envie de candidature à l’élection du président de la République au Bénin en 2021, c’est déjà le cas de Guillaume Soro pour la compétition présidentielle de 2020. Ces situations ne sont pas le

L’ancien président de l’Assemblée nationale de la Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, contraint actuellement à l’exil est condamné à 20 ans de prison. Alors qu’il y a quelques jours la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples a demandé à l’administration Ouattara de suspendre le mandat d’arrêt lancé contre Soro, la justice ivoirienne a poursuivi le procès de ce dernier jusqu’à aboutir à sa condamnation ce mardi 28 avril 2020 à 20 ans de prison et une amande de 4,5 milliards de francs Cfa par le tribunal correctionnel d’Abidjan. A la tombée du verdict, Guillaume évoque « une parodie de procès…qui ne l’émeut pas ». L’ex deuxième personnalité de la Côte d’Ivoire qui, à un moment donné s’est séparé d’Alassane Ouattara, ajoute que ce verdict est selon lui « un non-événement ». Du coup, il rappelle au président de son pays que « cette justice qu’il manipule aujourd’hui est la même qui l’avait interdit hier à la participation à toute élection pour nationalité et moralité douteuses

Le port obligatoire de masque de protection n’est plus circonscrit comme c’était le cas jusqu’à ce jour. La mesure est rendue générale sur toute l’étendue du territoire national. La police républicaine l’a annoncé ce lundi 27 avril 2020. Le port obligatoire de cache-nez n’est plus une affaire de seulement certaines localités du pays. Un communiqué de la police républicaine signé du porte-parole indique que cette mesure s’impose désormais à tous les béninois et ce, à compter de demain. Mieux, des instructions ont été données aux éléments de la police républicaine afin que tout citoyen qui ne voudra pas respecter cette mesure soit sanctionné. Ces précautions se prennent dans le but d’une lutte contre le coronavirus qui sévit dans le monde depuis quelques mois. Il faut rappeler que le Bénin compte, au dernier point du ministre de la santé, 64 cas confirmés dont  33 guéris, 30 sous traitement et 1 décès.

Un nouveau point est fait sur l’évolution de l’épidémie du coronavirus au Bénin. L’essentiel à retenir est que le nombre de cas confirmés a connu une augmentation. A en croire les autorités béninoises, le pays a enregistré 19 nouveaux cas. Ainsi, le total des cas confirmés passe à 54.   Mais s’il y a de nouveaux cas confirmés, il y a également des cas supplémentaires de guéris, confirme le ministre de la santé du Bénin, Benjamin Hounkpatin. La nouvelle statistique officielle du covid-19 au Bénin donne donc 54 cas confirmés, 26 sous traitements, 27 guéris et 1 décès.

La situation des béninois depuis l'avènement du régime de la rupture en avril 2016 n'est pas des plus reluisantes. Cet état de choses est souvent mis sous le cou de plusieurs facteurs parmi lesquels un "duel Yayi-Talon". "Il n'y a pas de duel entre Yayi et Talon...Il n'y aura pas duel Talon-Yayi", réplique l'ancien ambassadeur du Bénin près le Japon, Ruffin Zomahoun. A travers une opinion intitulée "Talon a raté l'occasion à faire oublier Yayi à travers sa gouvernance et ses percussions contre Yayi et ses collaborateurs", ce dernier a livré ses vérités. Pour Ruffin Zomahoun, l'opposition entre Yayi et Talon est due au fait que le premier a refusé au second "de s'accaparer de l'économie du pays". Très amer contre le président béninois Patrice Talon et son mode de fonctionnement, l'ambassadeur indique qu'il fallait plutôt un dialogue politique pour faire avancer le pays et non utiliser l'appareil

Les jeunes militants du parti du renouveau démocratique (Prd) de la commune d’Abomey-Calavi font œuvre utile. Ils ont sillonné plusieurs localités de ladite commune ce vendredi 17 avril 2020 pour distribuer des masques de protection aux conducteurs de taxi-moto zémidjans et aux bonnes dames, vendeuses aux abords des rues. Initiée par Olivier Adjovi, candidat sur la liste Prd aux côtés du leader du parti dans la commune Idrissou Asoumanou, cette action vise à sensibiliser les populations en vue d’une meilleure protection contre l’épidémie du coronavirus. Olivier ADJOVI, remettant un lot de masques aux conducteurs de taxi-moto D’abord au carrefour du marché Djadjo, Olivier Adjovi et ses camarades jeunes du parti arc-en-ciel ont entretenu les zémidjans. « Vous n’êtes pas sans savoir que nous sommes dans un temps où le coronavirus sévit. Nous sommes là pour vous inviter à respecter les règles d’hygiène », introduit Romuald Okpè. Après quelques minutes d’échanges, des masques on

Pour les élections municipales et communales de 2020, la Commission électorale nationale autonome  (Cena) a convoqué les cinq partis politiques en lice. C'est dans l'optique de procéder au positionnement sur le spécimen. Et c'est chose faite. Selon les lois régissant l'institution, c'est en presence des responsables des partis engagés que cela se fait. Au terme du processus, le Bloc républicain occupe la première loge pendant que le prd ferme la marche.

Un nouveau bilan est fait de l'épidémie du coronavirus. La situation présentée par les autorités béninoises donne un lueur d'espoir au peuple béninois par rapport à la pandémie. Sur les 35 cas confirmés au Bénin, l'on compte aujourd'hui 18 cas guéris, 1 décès et 16 cas encore sous le traitement. Ce nouveau tableau du covid-19 au pays doit amener les dirigeants à renforcer les mesures de prévention et les populations à redoubler d'ardeur dans le respect des règles-barrières contre cette épidémie mondiale. Ce n'est qu'à ce prix que le Bénin redeviendra un pays à 0 cas.

On le sait. La sortie du président béninois, Patrie Talon au volant d’un véhicule dans les rues de Cotonou a un seul objectif, faire le buzz. Et c’est fait. Il a obtenu son buzz, du moment où les réseaux sociaux ont suffisamment abordé le sujet avec à la clé une vidéo de quelques secondes qui l’accompagnent. Malheureusement, c’est justement cette vidéo qui a plombé le show. Patrie Talon a fait du buzz, mais n’a pas réussi le show. Et pour cause, le chef de l’Etat s’est baladé à Cotonou en montrant un mauvais exemple à ses compatriotes. On ne doit le rappeler à personne. Le monde entier et le Bénin essuient actuellement la furie de l’épidémie du coronavirus. Face à cela, le ministre de l’intérieur de Patrie Talon a pris des arrêtés pour donner des injonctions à la République dans la perspective de la lutte contre la pandémie. Le port de masque est donc obligatoire au Bénin. Dans la même veine, il est demandé de ne sortir que lorsque cela est nécessaire. Visiblement, ces ordres

"Il ne représente que l'ombre de sa petite personne et n'est associé ni de près ni de loin aux activités du parti Mpl". Ainsi peut-on résumer les clarifications données par le directoire du Mouvement populaire de libération (Mpl) sur les agissements de Arsène Fangninou. Dans un communiqué signé du secrétaire général du parti Expérience Tèbè, il est indiqué que le nommé Arsène Fangninou se fait passer pour le coordonnateur départemental de ce regroupement politique dans le couffo. Un crime n'étant jamais parfait, ce dernier exhibe un titre qui n'existe même pas dans les instances du Mpl pour prétendre rejoindre le Bloc républicain avec ses camarades de lutte. Le communiqué du parti vient non seulement mettre à nu cette usurpation grossière de titre, mais également mettre en garde son auteur sommé du coup de ne pas récidiver sous peine de poursuites judiciaires par le directoire du Mouvement populaire de libération. Par la même occasion, le communiqué signé

Au milieu du coronavirus, le Bénin prend une grande décision par rapport aux élections qu'il prévoit organiser le 17 mai prochain. La planète est  secouée par la pandémie du covid-19. Dans les quatre coins de la terre, tout ne se passe plus comme prévu. Des cas de contamination, des cas de traitement, des décès et surtout la propagation, c'est la priorité et le casse-tête des dirigeants et citoyens de tous les pays. Le Bénin devrait aussi aller aux élections communales et municipales en mai 2020, le 17. Mais dans le contexte actuel, quelle est la possibilité que cette élection puisse se tenir ? Talon et les présidents des institutions de la République ont donné une réponse hier après une concertation tenue par visioconférence. Mercredi 8 avril 2020, les deux parties ont décidé que les élections vont se tenir malgré le covid-19. Selon les sources, des dispositions seront prises pour que cela se fasse sans risque. Cette décision suscite en tout cas des interrogations, quan

La présidentielle américaine du 3 novembre 2020 a livré un important secret. On connaît désormais le candidat qui va affronter le président sortant des États-Unis, Donald Trump. En effet, le socialiste Bernie Sanders a renoncé à briguer l'investiture démocrate pour la présidentielle américaine alors qu'il était en mauvaise posture face à l'ancien vice président Joe Biden qui désormais est assuré d'affronter Donald Trump. Le sénateur indépendant Bernie Sanders s'est adressé ce 8 avril à son équipe et ensuite à ses militants via internet qu'il abandonnait la course à la Maison Blanche. Cette décision offre du coup la victoire de la primaire démocrate à Joe Biden qui affrontera Donald Trump lors de la présidentielle américaine de novembre. L'ancien vice-président Joe Biden, 77 ans, est a donc désormais l'assurance d'affronter le président républicain Donald Trump, le 3 novembre. Mais il doit encore être désigné officiellement candidat par le parti

Désormais, il ne reste que Paul Hounkpè et son camp pour poursuivre le chemin contradictoire à celui tracé par le parti Fcbe au congrès de Parakou. Et pour cause, le camp majoritaire du bureau exécutif national du parti Forces cauris pour un Bénin émergent  (Fcbe) donne de la voix au lendemain de la démission du parti, de Boni Yayi, ancien président du Bénin et président d'honneur dudit parti. Fidèles à ce dernier et s'inscrivant dans la défense des principes originels du parti cauris, Eugène Azatazou, Nourénou Atchadé, Léon Dègny, Justin Adjovi et Francis Amoussou, pour ne citer que ceux-là, ont indiqué qu'ils se désolidarisent de la "mascarade de Paul Hounkpè et compagnie". Dans une déclaration lue ce mercredi 8 avril 2020 au siège du Fcbe à Cotonou par l'He Justin Adjovi, la partie majoritaire des membres du bureau exécutif national déplore les agissements de Théophile Yarou et Paul Hounkpè. Ils s'insurgent surtout contre "l'arrogance&

Le mouvement politique Groupe Vision ne s'étonne pas de la "prétendue condamnation" de l'opposant béninois Komi Koutché, ancien ministre d'État chargé de l'économie, des finances et des programmes de dénationalisation par la Cour de represession des infractions économiques et du terrorisme  (Criet). Pour le mouvement ayant pour leader Komi Koutché, cela n'est qu'une suite de l'acharnement dont ce dernier fait l'objet de la part du régime en place depuis quatre ans. Dans un communiqué du comité exécutif national de Groupe Vision, les responsables du mouvement rassurent leurs militants et partenaires, les appellent à la sérénité et les invitent à ne surtout pas se laisser distraire par cette mise en scène d'une "justice aux ordres". Selon eux, l'heure est à la mobilisation, à la concentration. Komi Koutché a reçu par la même occasion le soutien indéfectible du mouvement politique. LIRE LE COMMUNIQUÉ DU COMITÉ EXÉCUTIF NA

D'hier dimanche à ce lundi 6 avril 2020, la flèche des cas confirmés de coronavirus monte au Bénin. Au nombre de 22 hier, le nouveau point du ministre de la santé du Bénin, Benjamin Hounkpatin l'a porté à 25 cas après révélation de 3 nouveaux cas. Mais le lendemain, la nouvelle sera plus triste lorsque le ministre de la santé va porter à la connaissance des citoyens que le pays a enregistré son premier cas en la personne d'une dame de 43 ans. Une nouvelle qui, reconnaît l'autorité ministérielle, montre à quel point la situation du covid-19 devient sérieuse au Bénin. Cette augmentation des cas confirmés de coronavirus doit amener le gouvernement du Benin à "aller plus loin", croit fermement l'ancien député et docteur André Dassoundo. Ce dernier s'est inquiété sur les réseaux sociaux à travers un message et a surtout montré sa non satisfaction des mesures prises par les dirigeants béninois contre la pandémie. Le docteur Dassoundo indique qu'il

Le Bénin compte désormais parmi les pays du monde ayant enregistré de cas de décès dû à l'épidémie du coronavirus. On apprend en effet ce matin qu'une dame de 43 ans a fini par être emportée par le virus du corona. Selon les informations données par le ministre de la santé lors d'une déclaration faite ce matin du lundi 6 avril, le décès est survenu parce que la victime n'a pas été dépistée à temps. Une mauvaise nouvelle pour le Bénin qui a annoncé hier 22 cas dont 5 guéris. C'est également une situation qui devrait amener les autorités béninoises à prendre davantage leur responsabilités et les populations à renforcer leur degré de respect des règles sanitaires. Il faut souligner que la défunte a été enterrée au cimetière de Somè à Abomey-Calavi.

Dans une affaire dite Fnm, la Criet de Porto-Novo condamne par défaut l'ancien ministre d'État chargé de l'économie, des finances et des programmes de dénationalisation, Komi Koutché à 20 ans de réclusion criminelle et une amande de 100 millions. A l'issue d'un procès qui a duré du vendredi au samedi, cette Cour spéciale a rendu son verdict malgré tout le parcours qu'a fait l'affaire sur le plan national ainsi qu'à l'international et dont les différentes étapes plaident en faveur de Koutché. L'ancien ministre d'État s'est toute suite adressé au peuple béninois à travers sa page Facebook. Dans son message, il exprime sa gratitude à tous ses soutiens et les rassure de ce que la lutte doit continuer sans distraction. LIRE LE MESSAGE DE KOMI KOUTCHÉ Merci de vos #soutiens et #affections. Nous ne baissons ni la tête, ni le regard car la #cible est devant. Notre fidélité à nos #convictions et notre engagement pour la restauratio

Les bébés sont-ils des porteurs sains ? Certains spécialistes de santé ont répondu et continuent de répondre à l’affirmatif à cette interrogation en ce qui concerne l’épidémie du coronavirus. Mais au fil des jours, la réalité semble conduire vers une désillusion. Et pour cause, un bébé de six semaines seulement est mort de cette pandémie aux Etats-Unis d’Amérique. Le nouveau-né, victime du Covid-19 est parmi les 965 morts enregistrés par les Usa en 24h. Une hausse-record donnant un total de 4076 décès. Situation qui a réveillé le président Donald Trump de son sommeil. En effet, ce dernier a longtemps minimisé l’impact du Covid-19 sur sa population et son territoire. Mais plus maintenant. « Je veux que chaque Américain soit prêt pour les jours difficiles qui nous attendent », a-t-il lancé à ces concitoyens. Il faut signaler que le bilan de la pandémie aux Usa donne 189000 cas confirmés et plus de 5000 morts.