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Plus aucun doute, le complexe scolaire privé "La Trinité" de Mamatchoké dans la commune de Bantè est définitivement le leader en matière de la production de brillants cadres de demain. Elle fait sa preuve chaque année et semble entrer dans la phase de la confirmation cette année 2019. Si l'année dernière, Cep 2018, c'est un taux de 93,93% qui réjouissait administration et parents, les dirigeants ont mis le paquet cette session de 2019 pour porter la barre à 100%. Sur 33 candidats présentés à cet examen, tous les 33 ont décroché leur passeport pour accéder au collège et ce, avec la manière. La Trinité de Mamatchoké apparaît dans les tops 50 des amis garçons comme fille du département des collines. La Trinité de Mamatchoké... A l'examen du Certificat d'étude primaire (Cep) 2019, l'école privée implantée dans la commune de Bantè, arrondissement de Gouka par l'Ong Camep en partenariat avec Amay (Belgique) ne s'est pas contentée d'un résulta

Croire que le parti Restaurer l'Espoir (Re) a fait la politique de la chaise vide est une erreur. L'absence au palais de la Marina le lundi 15 juillet dernier pour rencontrer Patrice Talon est bien fondé, car ayant fondé sur des principes bien précis. Selon les explications du président du parti, Candide Azanaï la résistance était dans une approche bien définie et c'est bien cela que le parti a respecté. De même, le processus de convocation et d'organisation de cette rencontre laisse entrevoir des pièges. Le parti Re a donc plutôt décidé d'éviter de tomber dans le piège d'une politique de chaise électrique et non qu'il a fait montre de la chaise vide. Pour éteigner ses arguments, Candide Azanaï a rappelé la lettre adressée au chef de l'État Patrice Talon et qui est signée par l'ancien président de la République, Nicéphore Dieudonné Soglo. C'était une lettre qui reflétait la position de la Résistance nationale. C'est donc clair, poursuit-i

Quand il question de qualification, la meilleure manière pour les Écureuils du Bénin est de jouer contre les Lions. Pour passer en huitièmes des finale, il fallait tout jouer pour ne pas perdre face aux Lions indomptables du Cameroun. A l'arrivée, Saturnin Alagbé et ses coéquipiers ont obtenu un match nul (0-0) pour décrocher leur ticket. Une fois en huitièmes huitièmes finale où le tout se joue en élimination directe, les Écureuils n'ont retrouvé sur leur chemin que d'autres Lions. Cette fois-ci les Lions de l'Atlas du Maroc. Le Bénin n'a pas tremblé et adécroché son billet pour les quarts de finale. Lors d'un match intéressant, les Écureuils et Dussuyer ont subi la dominationadverse pendant plus de 30 minute. Ce sont eux qui vont d'ailleurs trouvé en premier le chemin des filets à la 53ème minute par le biais de Moïse Adilèhou avant qu'une erreur de Jordan Adéoti ne permette aux Lions de l'Atlas et En-Nesyri de revenir à la marque à la 75ème m

On peut déjà commencer par dire que les qualifications des Ecureuils du Bénin dans cette  Coupe d'Afrique des Nations  (Can) est une histoire de Lions. Pour cause, le troisième match au cours duquel le Bénin a décroché sa qualification en huitièmes de finale s'est joué face aux Lions indomptables du Cameroun. Le nul qualificatif obtenu par les Écureuils face à cette Nation les a envoyés en huitièmes pour croiser le fer avec le Maroc. Écureuils du Bénin  Le Bénin joue d'autres Lions. Sortis des griffes des Lions indomptables pour atterrir en huitièmes, les poulains de Michel Dussuyer retrouvent sur leur chemin, cette fois, les Lions de l'Atlas du Maroc. Une confrontation à élimination directe qui s'annonce âpre quand on sait que cette Can est une édition de surprise où l'on est pas en mesure de se hazarder dans un pronostic d'équipe faible ou d'équipe forte. Le reste, peut-être que les Écureuils veulent écrire leur histoire définitive contre les

Au Bénin, les funérailles deviennent une tradition suite au décès d’un parent ou d’un proche. Malgré la cherté de la vie, l’on sacrifie toujours à cette tradition avec d’importants moyens, au point où aujourd’hui dans le pays, l’on se demande s’il faut assimiler cette pratique à une obligation coutumière ou à une démonstration de son statut social. Assurer les funérailles d’un parent coûte aujourd’hui de plus en plus cher au Bénin. A l’annonce d’un décès, les membres de la famille se trouvent obligés de mobiliser de moyens financiers importants pour assurer les funérailles d’un défunt. Que cela soit en ville ou dans les villages, des funérailles se font à grands frais et même plus dans les familles très attachées à la tradition. Du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest, le Bénin semble perdre progressivement le sens des proportions en la matière. Dès lors qu’il s’agit d’enterrer un être décédé, tout se voit. Ce qui frappe le plus, c’est cette solidarité presque spontanée qui s’expr