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Définitivement, l’Ecole primaire privée la Trinité de Mamatchoké s’impose comme la meilleure école dans son milieu. A l’issue de l’examen blanc du Certificat des études primaires (Cep) édition 2020-2021 qui s’est déroulé du lundi à ce mercredi 28 avril 2021, la maison du savoir implantée à Mamatchoké fait à nouveau la sensation. Connue pour ses bonnes performances dans l’arrondissement de Gouka, commune de Bantè, la Trinité a déjà annoncé les couleurs de l’examen de fin d’année à travers le test qu’est l’examen blanc.              En effet, des six écoles qui ont composé au Centre Gouka-Zongo, seule l’école la Trinité s’en est sortie avec un résultat sans faute. 100% donc de taux de réussite pour cette désormais école référence pendant qu’aucune école n’a pu atteindre les 40% de taux de réussite. Ce lieu de savoir implanté dans l’arrondissement de Gouka ne s’est pas juste contenté de faire un résultat 100%, mais également il est celui qui a occupé les meilleures places. Presque les 10

La présidente du Groupe national de contact (Gnc), Amissétou Affo Djobo sort du silence. Dans un communiqué, elle a retracé les démarches menées par le Groupe qu'elle dirige sur le chemin de la restauration de la démocratie et l'État de droit au Bénin avant de revenir sur le boycott sanglant que les béninois ont infligé à la rupture lors de l'élection hors délai organisée le 11 avril dernier.    LIRE LE COMMUNIQUÉ BENINOISES, BENINOIS, MES CHERS COMPATRIOTES   Il vous souviendra le format dans lequel le Groupe National de Contact (GNC) a initié puis organisé, le 14 décembre 2020 au Golden Tulip le Diplomate de Cotonou, la célébration du trentième anniversaire de la Constitution béninoise du 11 décembre 1990.  Tous les partis politiques que compte notre pays, les institutions de la république, notamment le Gouvernement, des personnalités de haut rang ayant occupé d’éminentes fonctions dans notre pays ainsi que le corps diplomatique et les organisations internationales accréd

  L’attentat perpétré sur sa personne il y a plus de deux mois n’ébranle point sa détermination dans la lutte pour la liberté et la restauration de la démocratie au Bénin. L’ancien ministre Ganiou Sglo, puisque c’est de lui qu’il s’agit, fait sa première sortie depuis son retour au pays après son évacuation sanitaire à Paris. Le fils de l’ancien président de la République a témoigné sa gratitude à tous ceux qui ont œuvré afin qu’il puisse se rendre à l’étranger se faire opérer suite à la tentative d’assassinat dont il a été victime dans son pays et qui s’est soldée par une balle logée dans son thorax. Ganiou Soglo a déploré le comportement de l’armée béninoise qui a ouvert le feu sur des populations dans certaines régions du pays, suite aux manifestations qui ont éclaté pour exprimer le mécontentement du peuple qui appelait Patrice Talon à ne pas outrepasser les limites de son mandat qui, constitutionnellement était arrivé à terme le 5 avril 2021. Selon l’ancien ministre, l’armée est p

Sa voix va à nouveau résonner. Ganiou Soglo va s'adresser à ses compatriotes et à l'opinion internationale ce mercredi 14 avril 2021. Suite à son assassinat manqué qui lui a valu une évacuation sanitaire dans l'hexagone, l'ancien ministre béninois, fils de l'ex président de la République Nicéphore Dieudonné Soglo a regagné Cotonou il y a quelques jours.  Si la volonté de ceux qui ont horreur des défenseurs de la démocratie n'ont pas pu s'accomplir en tuant le candidat qui s'est aligné pour la présidentielle de 2021 selon la Constitution souveraine de 1990, l'homme ne compte pas pour autant lâcher le combat. Il clame d'ailleurs que << l'heure est grave. Le Bénin traverse des moments douloureux >>. Ganiou Soglo annonce ainsi un grand rendez-vous quand on connaît la pertinence et la portée de ses interventions. Ce sera à 14 heures.

Les langues délient. Un juge, Essowé Batamoussi, claque la porte à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet). Suite à son acte, il a laissé des mots forts à nos confrères de la Radio France internationale (Rfi). Il a été clair et sans équivoque. La Criet est juste un instrument du pouvoir contre les voix discordantes. Selon ses révélations, les décisions se prennent dans cette << maison justice >> selon le voeu du régime en place. Plus aucun doute donc, l'indépendance de la Criet longtemps dénoncée par plusieurs figures de l'opposition béninoise s'est finalement avérée. << Le juge que je suis n'est pas indépendant tel que cela se devait d'être. Toutes les décision que nous avons été amenés à prendre, l'ont été sur pression >>, a-t-il confié.  Essowé Batamoussi s'est attardé sur le dossier de la candidate recalée du parti de l'opposition Les Démocrates, Réckya Madougou. À l'en croire, le dossier

Massivement déplacés à la place de la République à Paris, les béninois exigent le rétablissement de la démocratie dans leur pays. Dénonçant ce qu'ils appellent les dérives du régime dirigé par le président Patrice Talon, ils appellent le peuple à la mobilisation générale. Pour la diaspora béninoise, la réconciliation nationale s'impose. Elle indique que cela passe par la libération des détenus et prisonniers politiques, le retour au bercail des exilés politiques et le respect du mandat constitutionnel du chef de l'État qui arrive à expiration le lundi 5 avril 2021. Dans son intervention lors de cette manifestation, l'opposant en exil, premier vice-président de la Coalition s'engager pour le Bénin (Ceb) et ancien ministre de la justice, Valentin Djènontin Agossou rassure les compatriotes au pays qu'ils ne sont pas seuls dans la lutte. << Nous avons effectué ce déplacement massif pour vous assurer que nous sommes avec vous >>, a-t-il lancé. Il a invité

   << Le mandat donné par le peuple béninois souverain au Président de la République Patrice Talon en 2016 prend fin ce 05 avril 2021 à minuit >>, a rappelé clairement le communiqué de la Coalition s'engager pour le Bénin (Ceb) signé de son président Komi Koutché et son vice-président Valentin Djènontin Agossou, tous deux contraints à l'exil par le régime en place. Constatant que le chef de l'État du Bénin a mis de côté l'agenda du peuple pour faire dérouler depuis pratiquement cinq ans son agenda personnel, les deux opposants attirent l'attention de Patrice Talon et appelle les béninois à la mobilisation générale.  Pour Komi Koutché et Valentin Djènontin Agossou, le chef de l'État est dans une marche forcée qui fait planer sur le pays un danger. Ils appellent alors le peuple à prendre ses responsabilités dès le 05 avril, fin du mandat de la rupture et son chef.  Lire le communiqué de la CEB  COMMUNIQUE DE LA COALITION SENGAGER POUR LE BENIN SUR LA S