'' S'unir pour bâtir'', la chose la mieux partagée chez les Fcbe
« L’époque de l’adversité
politique circonstancielle est terminée et c’est le moment pour tous ceux qui
ont fait le combat pendant dix ans avec le président Yayi Boni de se mettre
ensemble pour perpétuer ce que nous avons commencé depuis 2006 ». Ainsi a
introduit le ministre d'État chargé de l'économie et des finances et des
programmes de dénationalisation, Komi Koutché la rencontre des Forces cauris
pour un Bénin émergent tenue le samedi dernier à Glazoué. Cette rencontre qui a
réuni les cadres, dignitaires et élus locaux, communaux et nationaux Fcbe des 9ème
et 10ème circonscriptions électorales du Bénin se veut un créneau de
rappel à a remobilisation des militants cauris et à la consolidation de l’union
des filles et fils des collines. « C’est l’occasion rêvée pour parler de
l’union des forces vives des collines. Nous sommes venus constater vous êtes
unis et que l’unité rêvée, demandée et prônée par notre leader, le président
Boni Yayi se concrétise au niveau des collines », a notifié l’honorable
Léon Dègny, porte-parole des députés Fcbe des collines. Le constat est le même
pour l’ancien ministre Félicien Zacharie Chabi. A l’en croire, il n'y a plus
désormais de différence entre les deux circonscriptions électorales de notre
pays. « Qui dit 9ème, dit 10ème », a-t-il conclu.
Pour sa part, le ministre de l’enseignement maternel et primaire, Eléonore Ladékan Yaï a fait constater que la mobilisation de ce jour est un signal fort. « Si nous avons fait dix ans et que nous sommes restés constants, c’est qu’il y a quelque chose qui marche au sein des Fcbe », a-t-elle indiqué. C’est pourquoi, selon elle, il faut passer à l’offensive dans une union sacrée dès à présent. « L’heure n’est plus au bavardage, mais aux actions. C’est pourquoi, le ministre a dit de faire de notre rassemblement, un rassemblement unique. Il n’y a plus de 9ème ou de 10ème circonscriptions électorales, mais plutôt les collines », a-t-elle fini.
Pour clore la séance, le ministre d’Etat, Komi Koutché a invité tous les acteurs de la famille cauris de se mettre au travail. « Nous sommes venus vous dire, vous qui avez les effets multiplicateurs politiques sur le terrain, d’aller mobiliser la troupe et la maintenir en éveil puis lui dire que nous sommes là et qu’il n’y a pas de place pour les prédateurs.
Et n’oubliez surtout pas que notre candidat pour l’heure aux Fcbe, ce sont les idéaux que nous avons entamés depuis 2006 »a-t-il fini. Il faut souligner qu'après les assises des têtes de pont Fcbe des collines à Glazoué, c’est le tour d’une démonstration populaire 24 heures apès c'est-à-dire le dimanche 6 septembre 2015 au stade de Savalou. Venus de tous les coins du département des collines, les filles et fils sont venus témoigner leur soutien et engagement aux côtés du président de la République, Boni Yayi. En effet, l’occasion s’inscrit dans le cadre de la remobilisation de la troupe Cauris en vue de faire face sereinement des enjeux électoraux à venir. « Nous marcherons toujours mains dans les mains. FCBE restera toujours », a affirmé le ministre d’Etat chargé de l’économie et des finances et des programmes de dénationalisation, Komi Koutché.
Ils ont dit :
Mefpd, Komi Koutché, ressortissant des collines :
‘‘L’époque de l’adversité politique
est terminée…nous devons nous mettre ensemble. Nous sommes Yayi depuis 10 ans,
nous le sommes et le seront après 2016 ’’
« Pour
qu’elle ne disparaisse pas, ça dépend de chacun de nous. C’est pourquoi, nous
vous avons réunis ici ce jour pour vous dire que c’est vrai qu’entre deux
élections présidentielles, nous avons connu des élections intermédiaires que
sont les législatives, locales, communales et municipales qui ont réussi à des
moments donnés à amener des frères et
sœurs pas à devenir des ennemis, mais des adversaires circonstanciels. Cette
époque est terminée et c’est le moment pour les filles et des fils qui ont fait
ce combat pendant dix ans de se mettre ensemble. L’avantage pour nous de nous
mettre ensemble, c’est de perpétuer ce que nous avons commencé avec le
président, Boni Yayi. Comprenons que c’est parce qu’il est soucieux de ce que
nous avons fait ensemble, qu’il nous demande de nous organiser. S’il ne pensait
qu’à lui seul, il pouvait dire qu’il est entrain de finir et nous laisser nous
organiser comme nous pouvons. Mais, si nous nous divisons, nous serons tous
perdants. Si nous nous divisons, ceux qui pensent qu’en dix ans le président
Boni Yayi n’a pas fait comme ils veulent, parce qu’il a choisi de s’orienter
beaucoup plus vers les pauvres que nous sommes au détriment de quelques
personnes qui s’accaparent des richesses du pays. Ceux qui pensent qu’en dix
ans, Yayi Boni leur a fait du mal et qu’il faut se venger, lorsqu’ils vont
venir, soyez rassurés, ils vous frapperont sans distinction. Ils vont vous
utiliser et après ils vous frapperont sans distinction. C’est pourquoi, je
voudrais souhaiter ce matin, à cette occasion, que nous taisons toutes nos
querelles, car il n’y a que l’union qui peut faire la force. Après cette
rencontre, allez annoncer la bonne nouvelle chez vous et autour de vous à
toutes nos militantes et à tous nos militants qui ont à un moment ont commencé
par douter et se demandent où est-ce-que nous allons. Demandez les de rester
sereins et dites les que nous allons vers la destination que nous avons définie
depuis dix ans. Nous allons vers toutes les destinations sauf celle que les
prédateurs tentent de nous indiquer. Je voudrais nous rappeler qu’il y a une
culture la plus chère pour nous ici et c’est la culture de la solidarité.
Evitez de vous laisser manipuler ! Evitez de vous laisser emporter dans la
démagogie de ceux qui pensent que Yayi Boni est à la fin de son mandat et que la
porte peut être ouverte à tout le monde ! Nous devons rester soudés, parce
que dans les tout prochains jours, la mobilisation doit continuer. Pour le
moment, on à pas à dire c’est tel ou tel qui est notre candidat. Notre candidat
pour l’heure aux Fcbe, ce sont les idéaux que nous avons entamés depuis 2006.
Notre candidat pour le moment, c’est notre union à continuer à conserver le
pouvoir. Au moment où vous ferez le choix avec nous, quelques soient celui sur
qui cela tombera, ça concernera tout le monde. C’est toujours de se battre
quand on est au pouvoir et qu’on a fait tout ce qu’on a fait là de conserver le
pouvoir et quelque soit celui qui va gérer ce pouvoir là, vous êtes concernés
une fois qu’il est dans votre camp. Mais quand il sort de votre camp, vous
devenez comme des étrangers et il vous est difficile de subir cela. Et pis,
vous perdez ce que vous avez comme logique, idéal de développement pour le
pays. En clair, nous sommes venus vous dire que Boni Yayi n’est pas fini. C’est
plutôt maintenant qu’il vit. Nous venus vous rassurés que Fcbe, que ce soit
dans sa forme actuelle ou dans sa forme transformée va démontrer le contraire
de cette conception erronée selon laquelle les regroupements politiques qui
portent les Chefs d’Etat et les soutiennent disparaissent après les fins de
mandat de ces derniers. Nous sommes venus vous dire, vous qui avez les effets
multiplicateurs politiques sur le terrain, d’aller mobiliser la troupe et la
maintenir en éveil puis lui dire que nous sommes là et qu’il n’y a pas de place
pour les prédateurs. Dites à la troupe que pour rien au monde, nous n’allons
laisser ceux qui viennent arriérer notre pays prendre le pouvoir »
Ministre de l’enseignement maternel
et primaire, Eléonore Yaï Ladékan, fille des collines : ‘‘La mobilisation
de ce jour marque un symbole fort’’
« Merci
à tous d’avoir fait ce déplacement. Ce qui marque un symbole fort, car un
enfant qui est né et qui a grandi pendant dix ans est un enfant qui connait à
peu près les difficultés de la vie et sait déjà se débrouiller. Lorsque
celui-ci se retrouve avec d’autres enfants qui viennent de naître, il n’a pas
en réalité raison de vouloir marcher avec eux ou de se comporter comme eux.
C’est juste dire que si nous avons fait dix ans et que nous sommes restés
constants, c’est qu’il y a quelque chose qui marche. Nous sommes là pour vous
rassurer que vous n’avez pas à vous inquiéter, car vos craintes constituent des
opportunités pour vos vis-à-vis. C’est pourquoi, il faut restés confiants.
L’heure n’est plus au bavardage, mais aux actions. Il n’y a plus de 9ème
ou de 10ème circonscriptions électorales, mais plutôt les collines »
Jean Panti, Dg/Fnm, natif des
collines :
« Cette rencontre de Glazoué est
pertinente, parce qu’elle constitue un point de départ pour la remobilisation
des populations des collines pour prendre part à la gestion de notre pays en
2016 »
Honorable Léon Dègny, ressortissant
des collines : ‘‘l’unité rêvée, demandée et prônée par notre leader, le
président Boni Yayi se concrétise au niveau des collines’’
« C’est
l’occasion rêvée qu’on se retrouve pour parler de l’union des forces vives des
collines. C’est une grande joie nous, les six députés. Nous députés Fcbe à
l’Assemblée sommes unis et nous sommes venus constater que vous nous donnez
également l’assurance que vous êtes unis et que l’unité rêvée, demandée et
prônée par notre leader, le président Boni Yayi se concrétise au niveau des
collines »
Député Valère Tchobo, fils des
collines :
« Les guéguerres n’auront pas leur
place désormais dans notre département. Je voudrais simplement demander à nos
populations de la 9ème et de la 10ème circonscriptions de
resserrer les rangs et les reins »
L’ancien ministre Zacharie Félicien
Chabi, ressortissant des collines :
« Nous voulons
désormais parler d’une seule voix. Notre engagement fera de cette unité une
réalité. C’est pourquoi, nous nous sommes entendus pour nous rappeler que le
temps est proche et que l’on doit parler d’abord de l’unité et puis après le
reste va suivre ».
La D/Cous-Ac et fille des collines,
Christhelle Dossi Sègbèya Houdonougbo :
« Je
voudrais dire à toutes les femmes du département des collines, à vos marques,
suivons les hommes dans cette dynamique, gage de l’atteinte de notre objectif »
Edmond Laourou : ‘‘Dans les
collines, nous sommes dans la dynamique de l’unité’’
« Tout
le monde reconnait qu’ici dans les collines, nous sommes dans la dynamique de
l’unité. Si nous devons que notre dynamique nous conduise vers notre objectif,
nous ne devons pas être indifférents à ce qui se passe ailleurs. Donc, chacun
de nous doit être ouvrier ailleurs aussi pour que la même dynamique que nous
entretenons ici se mette en place là également pour le bien de notre
pays »
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