« Ils sont des partis de nom. Ils ne sont plus audibles », a lancé l'he Nourénou Atchadé aux détracteurs du parti Les Démocrates


Le face à face d'hier mercredi 22 février 2023 entre les députés du parti de l'opposition béninoise « Les Démocrates » et les hommes des médias était pour expliquer les motivations de leur protestation à l'hémicycle. Mais pas que. Les conférenciers ont été amenés également à se prononcer sur certains sujets notamment les déclarations de certains de leurs détracteurs qui les taxent de tous les noms. La réponse du président du groupe parlementaire Les Démocrates, l'honorable Nourénou Atchadé a été cash. Il ne sert à rien, à l'en croire de tergiverser sur ces élucubrations des gens qui se disent responsables du parti qui n'existe que de l'appellation. « Ils sont des partis de nom. Nous ne voulons pas parler d'eux, parce qu'ils ne nous intéressent pas », a-t-il introduit.

 

Le premier vice-président du parti de l'opposition et premier responsable des 28 députés nouvellement installés à la 9ème législature a indiqué que ces détracteurs ont intérêt à sûrement à ce que le processus de la libération du Bénin n'aboutisse pas. « Ils ont pour métier de mettre le frein. Et peut-être qu'ils ont des dividendes pour ça », a-t-il affirmé. L'honorable Nourénou Atchadé reste clair. Au parti Les Démocrates, la voie choie pour aller à l'alternance politique, c'est la voie des élections. « Nous sommes un parti politique et nous avons choisi les élections pour parvenir à l'alternance. Qu'ils ne nous attendent pas. Qu'ils exploitent aussi ce qu'ils estiment être le bon moyen pour eux pour libérer le pays », lance t-il.


Le numéro 2 du parti de la flamme de l'espérance a fait remarquer que les seules choses qui importent pour le parti Les Démocrates, ce sont le Bénin et les béninois. « Nous ne travaillons pas pour qu'ils nous jugent, mais pour que le peuple nous juge, car il est le seul arbitre », a-t-il laissé entendre. Selon l'honorable Nourénou Atchadé, une chose est certaine. « À chaque fois qu'ils font ces déclarations, nous suivons tous le retour sur les réseaux sociaux. Il est clair qu'ils ne sont plus audibles », a-t-il conclu.

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