Allégations mensongères contre Komi Koutché et le maire de Bantè puis Cie : Des provocations qui militent contre la paix
Au Bénin, le lot quotidien des citoyens est depuis bientôt cinq ans l’intoxication, la manipulation. Et les exécutants en chef de ces sales besognes ne sont ni plus ni moins que des affidés de la rupture. Au milieu de l’atmosphère rendue tendre par la volonté du président de la République Patrice Talon et ses soutiens d’aller à une élection exclusive, la troisième sous le régime, de nouvelles trouvailles fusent. Convocation de certains opposants, emprisonnement des autres. La dernière imagination mal ficelée est l’accusation du maire de Bantè, Edmond Laourou Babalèkon ainsi que d’autres citoyens d’être dans un complot de déstabilisation du régime de Cotonou et ce, sous le pilotage de Komi Koutché. Dans la foulée, il est même annoncé que le chef de l’Etat a « ordonné l’arrestation » de ces personnes appelées proches de l’opposant Komi Koutché contraint à l’exil par la rupture.
Un mensonge grotesque truffé de personnages imaginaires qui prouve à suffisance la volonté d’intoxiquer, de manipuler et de nuire gratuitement à autrui. Dans un écrit pondu par des apprentis sorciers et ennemis de la paix dans la République, Yao Prospère y est décrit comme étant l’actuel maire de Savalou, alors que tout le monde sait que l’actuel chef de la mairie de Savalou est Dèlidji Houindo. De même, un certain Moudjibou est désigné dans ce texte comme fils du maire de Bantè et le chef des chasseurs est dit être un certain Akiyoko. De mensonges non mûris qui prouvent que les auteurs ne maîtrisent rien et que ces commis à l’intoxication sont en perte de vitesse.
Une provocation de plus
Il faut pour le régime de la rupture de jeter une fois encore de l’eau souillée sur Komi Koutché, l’ancien ministre d’Etat poussé à l’exil depuis maintenant plusieurs années. Outre les différentes affaires dans lesquelles l’on a tenté en vain de l’impliquer à travers des montages jamais prouvés, il faut maintenant l’accuser d’être en préparation de déstabilisation du pays. Qui connait le mode opératoire du nouveau départ sait qu’il n’est question là qu’une nouvelle provocation. Bantè et ses fils visés dans cette intoxication ne vont certainement pas voir cela de bon œil. C’est comme si la devise du pays est transformée en mensonge-intoxication-montage. Au moment où la crise électorale bat son plein au Bénin, le chef de la rupture et ses adeptes posent des actes qui renforcent la situation déjà critique au lieu d’écouter le message du peuple qui exige la paix et la démocratie.
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